Dimanche, l’Union européenne a sévèrement critiqué la Turquie et sa politique étrangère provocatrice. Le ministre des Affaires étrangères de l’Union européenne, Josep Borrell, a condamné les déclarations du président turc Recep Tayyip Erdogan contre son homologue français Emmanuel Macron, affirmant qu’elles étaient « inacceptables ».
Il a également appelé Ankara à « arrêter le cycle des provocations et des affrontements dangereux ».
« Les déclarations du président Recep Tayyip Erdogan contre le président Emmanuel Macron sont inacceptables. J’appelle la Turquie à arrêter ce cycle de confrontation dangereuse », a écrit Borrell dans un tweet.
Simultanément, le ministre grec des Affaires étrangères Nikos Dendias a affirmé dans un discours devant le Parlement, selon ce que l’agence de presse grecque a rapporté, que son pays ne tolère pas les allégations perverses ou les menaces de guerre.
Il a également estimé que la Turquie s’oriente vers un nouvel ottomanisme, ajoutant que son pays ne se conforme pas aux mesures unilatérales.
En outre, il a souligné que la Grèce défendra ses droits souverains de toutes les manières.