Vers des chars russes à Paris ? Moscou désigne désormais la France comme adversaire direct

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La tension entre Moscou et Paris franchit un nouveau cap. Dans un avertissement d’une rare brutalité, le Service de renseignement extérieur russe (SVR) a annoncé que la présence de sociétés militaires privées françaises en Ukraine serait désormais considérée comme une participation directe de la France à la guerre — et que ces sociétés deviendraient, selon la formulation russe, des « cibles prioritaires et légitimes » pour l’armée russe.

Un message clair : dans la vision du Kremlin, la France est en train de se rapprocher dangereusement de la ligne rouge.


Un décret français qui alimente la colère du Kremlin

Ce durcissement russe intervient après l’adoption à Paris du décret gouvernemental 2025-1030, permettant à certaines entreprises militaires — classées « opérateurs de référence » du ministère français de la Défense — d’apporter un soutien opérationnel à une « tierce partie engagée dans un conflit armé ».

Pour Moscou, aucun doute : il s’agit d’un mécanisme destiné à renforcer l’implication française en Ukraine tout en évitant l’envoi officiel de troupes régulières.

La Russie affirme que Kiev a besoin d’experts étrangers pour former ses forces à l’usage :

  • des avions de chasse Mirage,
  • et des systèmes d’armement occidentaux de dernière génération.

Selon Moscou, la France ne pourra pas s’abriter derrière une façade juridique : ces instructeurs, même sous statut privé, seront considérés comme des combattants ennemis.


Paris met en garde sa population : le risque d’un conflit direct n’est plus théorique

En parallèle des menaces russes, les déclarations du chef d’état-major des armées françaises, le général Fabien Mandon, ont ajouté une note d’inquiétude.

Lors d’un congrès des maires de France, il a rappelé que le continent européen traversait « un moment historique d’une extrême fragilité », et que la paix ne pouvait plus être tenue pour acquise.

Le général a averti :

  • la France devra peut-être accepter des coûts économiques majeurs pour renforcer sa base industrielle de défense ;
  • et préparer psychologiquement la nation à la possibilité de sacrifices humains, ce qui constitue un changement de ton notable dans le discours officiel.

Selon les services de renseignement français, la Russie se prépare à un affrontement potentiel avec l’Occident d’ici 2030, persuadée que l’OTAN et les pays européens constituent une menace existentielle.


Une escalade verbale qui expose une réalité inquiétante

Entre les avertissements de Moscou, les inquiétudes de l’armée française et la persistance du conflit en Ukraine, un constat s’impose :
la confrontation Russie-Occident n’est plus une hypothèse abstraite, mais un scénario étudié, discuté et anticipé par les deux camps.

Le ton de Moscou est sans ambiguïté :
si des sociétés françaises posent un pied en Ukraine, la Russie n’hésitera pas à élargir la notion de « cible » au-delà du front.

Pour Paris, c’est un signal alarmant.
Pour l’Europe, un rappel brutal des failles stratégiques du continent.
Et pour le monde, une démonstration que la guerre en Ukraine peut encore basculer vers une dimension beaucoup plus vaste.


Sources réelles

– Dépêche originale : Israel Hayom, Elie Leon
– Déclarations officielles du SVR (Interfax)
– Conférence du général Fabien Mandon (France)
– Communiqué Élysée–Zelensky (capture vidéo)

 

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