Une goupille de 15 dollars a causé 275 morts : révélations terrifiantes sur le crash du Dreamliner d’Air India »

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Le 12 juin 2025, à 13h39 heure locale, le vol 171 de la compagnie Air India, opéré par un Boeing 787-8 Dreamliner, décolle de l’aéroport international Sardar Vallabhbhai Patel à Ahmedabad. Trente-huit secondes plus tard, l’avion s’écrase dans le quartier résidentiel de Meghaninagar, causant la mort de 241 des 242 personnes à bord et d’au moins 34 personnes au sol. L’enquête préliminaire révèle un enchaînement de défaillances tragiques, déclenché par une cause aussi absurde qu’alarmante : une goupille défectueuse de 15 dollars.

Un document confidentiel de l’AAIB (Aircraft Accident Investigation Bureau) d’Inde, appuyé par une fuite de l’enregistrement audio du cockpit (CVR), expose un scénario glaçant : une réaction instinctive du commandant de bord à un problème mécanique banal a mené à l’arrêt des moteurs en plein décollage, à très basse altitude, laissant aucune chance de récupération.


38 secondes de chaos

Le vol, à destination de Londres Gatwick, transportait 230 passagers, 12 membres d’équipage et près de 100 tonnes de carburant. Le commandant Sumit Sabharwal (8 200 heures de vol) et le copilote Clive Condor (1 100 heures) étaient aux commandes de l’appareil immatriculé VT-ANP. Selon les données du FDR (Flight Data Recorder), l’avion atteint une altitude de 650 pieds (environ 200 mètres) en 18 secondes. C’est alors que tout bascule.


Le moment fatal : T-20 secondes

À T-18 secondes après le décollage, on entend un bruit métallique sur l’enregistrement CVR. La cause : une goupille de retenue, installée lors d’une maintenance le 1er juin et jamais recontrôlée, cède. Le siège du commandant bascule soudainement en arrière.

Par pur réflexe, le capitaine tire les manettes des gaz vers le ralenti, coupant la poussée des deux moteurs GE GEnx-1B. Le copilote, paniqué, crie : « On perd la poussée ! »

Deux secondes plus tard (T-20), Sabharwal crie : « Mon siège ! ». Ce moment, qualifié par les enquêteurs de « point de non-retour », marque l’irréversibilité de la catastrophe. À cette altitude et avec la poussée coupée, l’avion n’a plus aucune chance de se rétablir.


Le crash inévitable

À T-22 secondes, des alarmes de décrochage et d’extinction moteur envahissent le cockpit. L’avion commence à décrocher, incapable de maintenir sa portance. À T-26, les deux moteurs sont complètement éteints. La turbine à air de secours (RAT) s’enclenche, mais ne peut fournir que l’électricité minimale, pas la poussée. À T-30, les pilotes signalent une perte de contrôle complète. Huit secondes plus tard, à T-38, le Boeing s’écrase sur un bâtiment universitaire, enflammant l’appareil dans une boule de feu.

Le seul survivant, Vishwashkumar Ramesh, un Britannique de 40 ans, est parvenu à s’extraire par une fissure dans la carlingue, avec de graves brûlures.


Aucune erreur de carburant, sabotage ou défaut de fabrication

L’enquête, menée en coopération avec le NTSB américain, l’agence britannique d’investigation aérienne, Boeing et GE Aerospace, n’a trouvé aucune preuve de sabotage, aucun problème de carburant ni aucun défaut structurel. Tout a débuté avec une simple pièce défectueuse, suivie d’un geste réflexe tragique.


L’erreur humaine au cœur du drame

Le capitaine Ayesha Patel, instructrice sur 787, souligne :

« La réaction de Sabharwal était instinctive. Mais à cette altitude, il n’y a aucune marge d’erreur. Nous devons former nos pilotes à ces scénarios atypiques. »

Elle appelle à repenser l’ergonomie du cockpit, pour éviter les erreurs réflexes, notamment à travers des systèmes de verrouillage automatique sur les manettes de gaz pendant les phases critiques.


Un défaut d’entretien qui coûte des vies

Le capitaine Kishore Chinta, ancien enquêteur de l’AAIB, s’est dit stupéfait :

« Tout est parti d’une goupille à 15 dollars. Cela révèle une faille systémique dans la supervision de la maintenance. »

Il appelle à une numérisation complète du suivi post-maintenance, en particulier sur les éléments sensibles du poste de pilotage.


L’accident qu’on aurait pu éviter ?

Ce drame rappelle d’autres catastrophes aériennes où de petites négligences ont provoqué des désastres géants. L’industrie aéronautique, déjà secouée par les précédents du 737 MAX, se retrouve à nouveau sous pression.

Ce n’est pas une défaillance technique de Boeing. Ce n’est pas un attentat. C’est une somme de détails négligés, de comportements humains non anticipés, et d’un système de contrôle trop confiant.


Pour aller plus loin :
🔹 Infos-Israel.News – Actualité internationale
🔹 Alyaexpress-News – La réalité sans filtre
🔹 Rak Be Israel – L’info qui pique
🔹 Wikipédia – Boeing 787 Dreamliner
🔹 Wikipédia – Sécurité aérienne


Infos-Israel.News


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