Violences choquantes au concert d’Eyal Golan : des agents de sécurité accusés de passages à tabac brutaux

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Ce qui devait être une soirée festive s’est transformé en scène de chaos et de violence.
Lors d’un concert d’Eyal Golan à Ramat Gan, plusieurs spectateurs ont été violemment frappés par des agents de sécurité appartenant à la société T.Q.S.
Des vidéos circulant sur les réseaux sociaux montrent des bousculades, coups de poing, étranglements et insultes en arabe, provoquant une onde d’indignation à travers le pays.

 “Ils cherchaient la bagarre” : des témoins racontent

Plusieurs jeunes présents au concert ont témoigné d’une agressivité gratuite de la part des agents de sécurité.

“Ils avaient la rage dans les yeux, on voyait qu’ils cherchaient un prétexte pour frapper”, raconte Benjamin, un spectateur.
“J’ai juste dit qu’on allait finir notre sandwich et sortir — un agent m’a donné un coup de poing dans l’œil sans raison.”

D’autres vidéos montrent des agents en uniforme repoussant violemment des jeunes hommes au sol, sous les cris paniqués du public.
“On a payé des centaines de shekels pour se faire frapper et insulter. C’est une honte nationale”, dénonce Ruth, une spectatrice.

 Une violence “organisée” selon plusieurs victimes

Les témoignages convergent : les agents de T.Q.S. — une société privée déjà connue pour ses méthodes musclées — auraient agi comme un groupe organisé, prêt à en découdre.

“Deux d’entre eux étaient Arabes, ils nous ont maudits en arabe tout en frappant mon ami”, raconte un autre témoin.
“Ils ont étranglé un jeune homme, l’ont jeté au sol, et ne l’ont lâché qu’à l’arrivée de la police.”

Sur les réseaux sociaux, la colère monte : des internautes accusent la société T.Q.S. d’avoir embauché des gardes sans formation ni contrôle psychologique, malgré des antécédents de plaintes pour violences.

 Les vidéos virales relancent le débat sur la sécurité privée

Les images de la soirée, filmées par des téléphones portables, ont rapidement été partagées des milliers de fois.
On y voit des agents repoussant des femmes, criant, et frappant des spectateurs à coups de poing.
La scène rappelle d’autres incidents récents où des entreprises privées d’événementiel ont été accusées de brutalité et d’usage excessif de la force.

Plusieurs internautes ont appelé à boycotter les concerts d’Eyal Golan jusqu’à ce que la société soit remplacée.

“Nous aimons Eyal Golan, mais pas au prix de notre sécurité”, écrit un fan sur X.
“Ces gardes se comportent comme une milice, pas comme des professionnels.”

 Une avalanche de plaintes à venir

Des victimes ont déjà annoncé leur intention de porter plainte contre la société T.Q.S., certaines affirmant avoir été hospitalisées pour des contusions et traumatismes.
Une jeune femme, Hani Dahan, a rapporté avoir été poussée au niveau de la poitrine par un agent :

“Aucun garde n’a le droit de toucher une femme de cette façon. C’est une atteinte humiliante.”

Sur Google, les évaluations de T.Q.S. se sont effondrées en quelques heures :
“Entreprise violente”, “honte d’Israël”, “des brutes déguisées en agents”, peut-on lire parmi les nombreux commentaires.

 Eyal Golan se désolidarise : “La violence est inacceptable”

L’artiste Eyal Golan, qui n’est pas employeur direct des agents, a réagi par communiqué :

“Je condamne toute forme de violence. Nous avons contacté la société de sécurité pour exiger une enquête immédiate. Les concerts doivent rester des lieux de joie, pas de peur.”

Cependant, la production “Liam Productions” n’a pas encore officiellement répondu aux demandes des médias.

Une société privée au passé controversé

Ce n’est pas la première fois que T.Q.S. se retrouve dans la tourmente.
Des rapports précédents mentionnaient déjà des incidents lors de concerts d’Omer Adam et Eden Ben Zaken, avec plaintes pour coups et blessures restées sans suite judiciaire.
La question de la formation, de la supervision et du profil des agents de sécurité privés refait donc surface.

 Un débat national sur la sécurité dans les événements publics

Alors que les concerts attirent de plus en plus de jeunes Israéliens en quête de détente après une année de guerre, la sécurité des lieux de divertissement devient un enjeu national.
Les familles exigent désormais une vérification stricte des entreprises sous contrat, et une meilleure responsabilité légale des organisateurs.

“Quand la fête devient un champ de bataille, c’est le signe d’une société malade”, a commenté un éditorialiste de Maariv.

 

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