Une horreur devant son fils de deux ans : « Il l’a ligotée dans le miklat et l’a violée »

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Le bureau du procureur du district central (criminel) a soumis au tribunal du district central un acte d’accusation contre Barkhat Abu Essa – l’accusé bédouin d’avoir violé la mère devant ses enfants, il y a trois semaines. Abu Esa, un habitant de Tel Sheva, est accusé de crimes de viol avec circonstances aggravantes, d’abus sur mineur et d’effraction dans un immeuble.

L’acte d’accusation montre qu’Abu Essa est entré par effraction dans la maison de la femme en pleine nuit le 2/2/23, portant un masque et armé de rouleaux de ruban adhésif épais. À ce moment-là, la plaignante s’est réveillée de son sommeil et lorsqu’elle a vu Abu Essa faire irruption dans l’appartement par le balcon, elle s’est mise à crier et à appeler à l’aide.

Malgré cela, Abu Esa l’a attaquée, a collé un ruban adhésif sur sa bouche, ses yeux, ses poignets lorsqu’ils étaient derrière son dos et ses jambes, et l’a menacée : « Tais-toi ou je te tue ! ». Tout cela, alors que la plaignante se débat et crie à l’aide, et devant son fils de deux ans, qui se tient à côté d’eux et pleure.

« Par la suite, Abu Essa a conduit la plaignante dans le miklat vide et au bout d’un moment, il lui a coupé les liens des genoux et des chevilles et l’a violée, tout en ignorant ses cris », décrit l’acte d’accusation.

« Après cela, l’accusé a délié la plaignante et lui a dit qu’elle avait des enfants adultes qui pourraient l’aider à se libérer, il est allé dans la cuisine, a sorti une bouteille de bière (alcool !) du réfrigérateur, en a bu et s’est enfui de l’appartement – pas avant que l’autre fils de la plaignante ne se réveille , l’a remarqué et lui a parlé. »

En plus de l’acte d’accusation, une demande a été faite de détenir l’accusé jusqu’à la fin des poursuites judiciaires à son encontre.

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