L’Iran manque de médicaments et continue de financer les terroristes

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Les femmes iraniennes portent des masques de protection pour éviter de contracter un coronavirus, tout en marchant dans le Grand Bazar de Téhéran, Iran, 20 février 2020. (Crédit photo: WANA (WEST ASIA NEWS AGENCY) / NAZANIN TABATABAEE VIA REUTERS)
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Le ministre iranien de la Santé a annoncé que l’effondrement du rial et les fluctuations générales de la monnaie entraînent à la fois une augmentation des coûts des médicaments et une pénurie générale dans le système, selon Iran International.

Le ministre de la Santé, Mohammadreza Zafarghandi, a ajouté que le gouvernement prévoit de compenser ces hausses de prix en indemnisant les compagnies d’assurance pour éviter que les patients n’en supportent le coût.

Dans le même temps, le président Masoud Pezeshkian a accusé son prédécesseur Raisi d’avoir mis fin aux subventions des produits liés à la santé des années auparavant, entraînant de nouvelles augmentations des coûts pour les patients.

Les difficultés économiques de l’Iran se sont aggravées les unes après les autres. Effondrement de la monnaie, montée du chômage , inflation galopante, pénuries de carburant et désormais de médicaments, chroniques dans tout le pays, sans fin en vue.

Ce qui est pire pour l’Iran, c’est que le président élu Donald Trump a l’intention de rétablir les sanctions de « pression maximale » contre l’Iran pour mettre un terme à son programme nucléaire et à son financement du terrorisme.

Même aujourd’hui, alors que l’Iran est en proie à des difficultés économiques, le pays a promis d’aider à financer la reconstruction du sud du Liban après la guerre, au prix d’un lourd tribut financier.

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