Pendant des semaines, le monde entier a cru à une histoire atroce : un enfant de Gaza, filmé remerciant une ONG pour de la nourriture, aurait été criblé de balles par Tsahal quelques instants plus tard. Aucune preuve, aucune dépouille – mais le récit a été amplifié par des médias et militants. La vérité vient de tomber : l’enfant est bien vivant. Un mensonge de plus dans la propagande anti-israélienne.
Il y a un mois, la planète s’indignait. Un ancien employé d’une organisation humanitaire internationale, la GHF (Global Humanitarian Fund), affirmait face aux caméras qu’il avait assisté à une scène insoutenable : un enfant palestinien, qu’il avait filmé en train de lui serrer la main après avoir reçu de la nourriture, aurait été exécuté « de sang-froid » par des soldats israéliens, « criblé de centaines de balles ».
Rapidement, les grands médias se sont emparés du récit. Les ONG pro-palestiniennes ont dénoncé un « crime de guerre », des diplomates occidentaux ont relayé les accusations, et les réseaux sociaux se sont embrasés. Une fois encore, Israël était cloué au pilori avant même qu’une enquête ne soit menée.
Une histoire sans preuves
Dès l’origine, pourtant, des doutes existaient. Aucun corps n’avait été retrouvé. Aucun témoin direct n’avait confirmé les faits. Aucun document indépendant ne corroborait les dires de cet employé licencié, dont les motivations étaient pour le moins suspectes. Mais la mécanique médiatique était lancée : l’image de « l’enfant tué par Tsahal » avait déjà marqué les esprits.
Comme le rappelle Infos-Israel.News, « dans la guerre de propagande contre Israël, la première version compte toujours, même si elle est fausse. »
Le choc de la vérité
Et voilà que la vérité vient balayer ce récit mensonger : une vidéo récente, datée de la semaine dernière, montre ce même enfant bien vivant, en bonne santé. Filmé à Gaza, il apparaît aux côtés de sa mère, prouvant que toute l’histoire n’était qu’une manipulation.
Les mots de l’employé licencié sonnent désormais comme une fable morbide, construite pour émouvoir l’opinion internationale et dresser le monde contre Israël. « Alors, ou bien cet enfant est revenu d’entre les morts, ou bien les anti-israéliens n’ont tout simplement aucune limite dans leur mensonge », ironise un commentateur israélien.
Une stratégie bien connue
Ce n’est pas la première fois que le Hamas et ses relais inventent des « enfants martyrs ». L’affaire Mohammed al-Dura en 2000 en est l’exemple le plus célèbre : une mise en scène filmée qui a durablement marqué les esprits, bien qu’elle ait été contestée par de nombreuses enquêtes.
La méthode est toujours la même : accuser Israël d’avoir tué un enfant, susciter l’indignation mondiale, puis laisser les faits réels s’effacer dans le bruit médiatique. Même lorsque le mensonge est prouvé, il reste dans les mémoires.
Tsahal dans la guerre de l’information
Pour l’armée israélienne, cette affaire illustre encore une fois l’importance de la guerre de l’information. Sur le terrain, Tsahal combat le Hamas dans ses tunnels. Mais sur le plan international, c’est une autre bataille qui se joue : celle du récit.
Chaque faux témoignage, chaque vidéo truquée, chaque accusation infondée est une arme contre Israël. Et chaque fois que le monde reprend ces mensonges sans vérification, c’est une victoire pour le Hamas.
« Nous ne combattons pas seulement sur le champ de bataille, mais aussi dans l’arène médiatique », a rappelé un porte-parole de Tsahal. « La vérité finit par triompher, mais le mal est fait. »
Le silence complice du monde
Ce nouveau scandale aurait dû déclencher des excuses publiques de la part des médias et ONG qui avaient repris les accusations sans preuves. Mais le plus souvent, ces corrections passent inaperçues. L’indignation initiale reste, tandis que la vérité se dissout dans le silence.
« Ce deux poids deux mesures est insupportable », souligne un éditorialiste sur RakBeIsrael.buzz. « Quand un mensonge accuse Israël, il fait la une. Quand la vérité innocente Israël, personne n’en parle. »
Une arme contre Israël : la victimisation palestinienne
La raison est simple : la propagande palestinienne repose sur la victimisation. Dans ce narratif, l’enfant est toujours la victime, Israël toujours le bourreau. Ce schéma est efficace, car il mobilise l’opinion internationale à travers l’émotion. Mais il est mensonger et cynique.
La réalité, confirmée encore une fois par cette affaire, est que les civils palestiniens sont d’abord victimes du Hamas, qui les utilise comme boucliers humains et qui n’hésite pas à inventer des histoires pour protéger ses propres infrastructures terroristes.
Conclusion : la vérité comme riposte
Le cas de « l’enfant soi-disant tué » restera comme un exemple de manipulation anti-israélienne. Mais il doit aussi servir d’avertissement : chaque récit venant de Gaza doit être vérifié. La propagande est une arme, et la vérité doit être la riposte d’Israël.
À l’heure où Tsahal poursuit son offensive pour démanteler le Hamas, le combat se joue aussi dans les esprits. Et cette victoire-là, Israël ne peut se permettre de la perdre.
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