On prétend qu’à Pristina, la capitale, ils planifient une attaque contre les zones ethniques serbes du nord du Kosovo. Le gouvernement de Pristina n’a pas répondu aux accusations. L’Union européenne a tenté d’aider aux efforts de médiation et a appelé à une retenue maximale et à une action immédiate de la part des dirigeants de la Serbie et du Kosovo qui contribueraient « à une solution politique au conflit ».
Le Kosovo, où l’écrasante majorité ethnique des habitants sont des Albanais, s’est séparé de la Serbie après la guerre de 1998-1999. La Serbie ne reconnaît pas le Kosovo comme un pays indépendant et ses citoyens serbes non plus.
Après l’Ukraine, et la Russie, doit-on encore nous inquiéter ?
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