Israël sous le feu : entre douleur et résilience, le pays pleure ses morts et encense ses héros

0
251
Soyez le premier informé - Rejoignez notre page Facebook.

Tel Aviv, 15 juin 2025 – Après une nuit d’horreur marquée par une salve de missiles en provenance d’Iran, Israël se réveille dans la stupeur. Dix civils et un soldat ont péri dans les récentes attaques ciblant des zones résidentielles et les combats dans la bande de Gaza. Les services de secours poursuivent leurs efforts pour localiser les disparus, tandis que l’émotion gagne l’ensemble du pays.

Parmi les voix qui se sont élevées ce matin figure celle de Yaïr Golan, président du parti Démocrates et général de réserve, qui a livré un message poignant :

« C’est un matin triste et difficile avec la réception de la nouvelle concernant la mort de dix citoyens à l’arrière et d’un combattant de Tsahal dans la bande de Gaza. »

Il a adressé ses condoléances aux familles des victimes, en particulier celles de Manar, Shada, Hala et Manal Khatib, quatre femmes issues de la même famille, tuées par un missile iranien dans la ville arabe de Tamra, dans le nord du pays. Il a également mentionné les six morts de Bat Yam, touchés dans leur immeuble d’habitation, et dont les noms n’ont pas encore été rendus publics pour des raisons de respect familial.

Une tragédie nationale

La nuit dernière, un missile balistique iranien a frappé un immeuble résidentiel de dix étages à Bat Yam, causant l’effondrement partiel de la structure. Les images diffusées au petit matin montrent une façade entièrement déchiquetée, les appartements éventrés, les voitures calcinées et les rues jonchées de débris.

Les sauveteurs du commandement du Front intérieur et les équipes cynophiles fouillent les gravats sans relâche. Selon les derniers chiffres, 35 personnes sont encore portées disparues. Plus de 100 blessés ont été admis dans les hôpitaux de la région du centre du pays, certains dans un état critique.

Au même moment, dans la bande de Gaza, les forces de Tsahal ont mené une opération terrestre contre des infrastructures du Hamas, opération lors de laquelle le sergent-chef de réserve Noam Shemesh, combattant de la brigade Kfir, a été mortellement blessé.

Une réponse résolue de l’État hébreu

Face à cette attaque sans précédent depuis le début de la guerre, l’aviation israélienne a riposté massivement en frappant des cibles militaires à Téhéran, dans l’ouest de l’Iran, et dans le sud de la Syrie. Plus de 70 avions de chasse F-35 auraient survolé la capitale iranienne pendant deux heures, un exploit technologique et logistique salué dans les milieux militaires du monde entier.

Les cibles prioritaires étaient les systèmes de défense aérienne, les sites de lancement de missiles et plusieurs centres de commandement militaire. Selon les services de renseignement, les frappes ont porté un coup sévère aux capacités balistiques de l’Iran.

Dans une déclaration officielle, le porte-parole militaire Effie Defrin a déclaré :

« Nous avons établi une supériorité aérienne totale. Il s’agit de notre opération la plus profonde à l’intérieur du territoire iranien. »

La force tranquille des Israéliens

Mais au-delà de la riposte militaire, c’est l’unité du peuple israélien qui impressionne. Dans chaque quartier, des citoyens s’organisent pour aider les familles sinistrées. Des dons de sang affluent dans les centres hospitaliers. Les services sociaux sont mobilisés pour accompagner les enfants traumatisés.

Yaïr Golan, qui a longtemps servi dans les forces armées, a tenu à adresser un message de solidarité aux équipes d’urgence :

« Ces derniers jours, et encore maintenant, nous voyons les forces de sécurité et de secours agir sur les lieux d’impact, évacuer les blessés, extraire les personnes coincées sous les décombres et sauver des vies. Je souhaite leur adresser tout mon soutien et leur dire ma reconnaissance. »

Il a également appelé les citoyens à ne pas baisser la garde :

« Continuez à respecter scrupuleusement les consignes de sécurité – elles sauvent des vies. »

Un contexte géopolitique explosif

Cette escalade intervient dans un climat régional tendu. L’Iran, par l’intermédiaire de ses médias officiels, a revendiqué le tir de missiles comme une réaction à l’élimination de plusieurs de ses hauts gradés dans les récentes frappes israéliennes. Toutefois, selon plusieurs analystes, la réponse iranienne est restée mesurée, preuve d’un certain embarras face à la précision des frappes israéliennes.

Les États-Unis ont réaffirmé leur soutien indéfectible à Israël, tout en appelant à éviter une guerre régionale totale. Donald Trump, candidat à la présidence, a déclaré :

« Si nous sommes attaqués, toute notre puissance frappera l’ennemi à des niveaux jamais vus auparavant. »

Un combat pour la sécurité et la vérité

Dans ce climat, une partie des médias, y compris à gauche, reconnaît aujourd’hui s’être peut-être trompée sur les intentions et les capacités du gouvernement Netanyahu. Un journaliste de Yedioth Ahronoth a admis :

« Il est possible que nous ayons sous-estimé la détermination de Netanyahu à défendre l’État d’Israël. »

Malgré la douleur, la confusion et la peur, Israël reste debout. Les sirènes résonnent encore, les blessés continuent d’arriver dans les hôpitaux, les soldats montent au front — mais le peuple israélien, uni, déterminé, regarde l’avenir avec force.

Comme le résume une habitante de Bat Yam, dont l’appartement a été soufflé par le missile :

« On peut nous blesser, mais pas nous briser. On est chez nous. »

[signoff]

Infos Israel News en direct d’Israël 

Ce qu'on vous cache - CQVC 

Rak Be Israel, le top d’Israël !