Israël bannie de l’Eurovision 2026 ? Les pressions montent, mais Tel-Aviv prépare déjà son candidat

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Malgré les appels de plusieurs pays européens à exclure Israël de l’Eurovision 2026, l’État hébreu ne compte pas plier sous la pression. Tandis que l’Union européenne de radiodiffusion (EBU) doit se réunir le 3 juillet à Londres pour statuer sur la participation israélienne, la chaîne publique israélienne Kan 11 poursuit sereinement les préparatifs pour la sélection de son représentant. Ce paradoxe révèle une fois de plus le double standard européen à l’égard d’Israël, que certains rêvent de diaboliser jusque sur la scène musicale.


🎤 Un boycott politique… sous couvert artistique

Derrière l’apparente neutralité de l’Eurovision, un combat idéologique féroce se joue. Après la guerre contre le Hamas dans la bande de Gaza — rappelons-le, un groupe classé terroriste par l’Union européenne elle-même (source) — plusieurs diffuseurs européens, notamment ceux d’Islande, d’Irlande, de Slovénie, de Finlande, des Pays-Bas et d’Espagne, demandent l’exclusion d’Israël. Leur argument ? S’aligner sur les précédents cas de sanctions contre la Russie et la Biélorussie. Mais comparer la défense d’un pays démocratique à l’invasion d’un autre par un régime autoritaire frise l’indécence.

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🎧 La machine israélienne en marche, envers et contre tous

Sur le terrain, Israël agit comme si rien n’était. La production de « La prochaine star pour l’Eurovision », diffusée par Keshet 12, avance à plein régime. Le vainqueur de cette émission, en partenariat avec Kan 11, représentera normalement Israël à l’Eurovision 2026 en Autriche. Une préparation qui se veut professionnelle, stable et résiliente, loin du tumulte diplomatique.

Du côté du Israeli Public Broadcasting Corporation, les responsables confirment que l’identité du représentant n’est pas encore arrêtée, en raison de l’incertitude politique et sécuritaire. Les décisions finales seront prises « dans les mois à venir », selon des sources internes citées par Ynet, et reposeront sur des évaluations diplomatiques et sécuritaires.


🕊️ Et pourtant, Israël brille malgré les boycotts

Lors de la dernière édition, tenue en Suisse, Yuval Raphael a prouvé que le peuple d’Europe ne suit pas toujours l’élite médiatico-politique : le public l’a hissé à la deuxième place, tandis que les jurys – dont certains avaient ouvertement décidé de boycotter Israël – ne lui ont offert qu’un médiocre 14e rang. Le contraste est saisissant : la voix des peuples soutient Israël, tandis que certains gouvernements le condamnent.


📣 Une ingérence culturelle déguisée

Ce qui se joue à l’Eurovision dépasse de loin la seule musique. Il s’agit d’un bras de fer identitaire et géopolitique où l’on tente d’imposer un narratif pro-palestinien dans toutes les sphères, y compris artistiques. L’exclusion éventuelle d’Israël serait un précédent dangereux, transformant la culture en outil de pression politique, alors qu’elle devrait rester un pont entre les peuples.

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🎵 Israël, un pilier incontournable de l’Eurovision

Depuis sa première participation en 1973, Israël a marqué l’histoire de l’Eurovision avec quatre victoires, des artistes de renom comme Dana International, Netta ou encore Nadav Guedj, et une capacité à innover, surprendre, émouvoir. Dans un Moyen-Orient où les voix sont souvent muselées, Israël reste un phare culturel.

D’ailleurs, de nombreux pays arabes ou musulmans continuent de censurer le concours ou d’en boycotter la diffusion dès qu’Israël apparaît à l’écran. Pourtant, des pays comme les Émirats arabes unis ont récemment exprimé le souhait d’approfondir leur coopération culturelle avec Jérusalem, dans l’esprit des Accords d’Abraham (source).

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🇮🇱 Israël, une cible commode ?

La guerre des images fait rage. L’Europe, divisée entre les partisans d’un antisionisme militant et ceux qui soutiennent l’unique démocratie du Moyen-Orient, n’a pas encore tranché clairement. La réunion du 3 juillet à Londres sera décisive : Israël sera-t-il censuré pour avoir osé se défendre ou au contraire soutenu dans son droit à participer comme n’importe quel État membre de l’EBU ?

La France, l’Allemagne et l’Italie, bien que silencieuses jusqu’à présent, seront scrutées : leur position pourrait faire pencher la balance. Mais une chose est sûre : Israël est prêt, avec ou sans feu vert européen.


En conclusion

Si la politique devait l’emporter sur l’art, alors c’est l’Eurovision elle-même qui perdrait son âme. En excluant Israël, l’EBU trahirait ses valeurs de diversité, de tolérance et de dialogue entre les nations. En la maintenant, elle prouverait que même dans un monde fracturé, la musique peut encore nous rassembler au-delà des lignes de front.


Par Infos-Israel.News

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