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Selon le media Naharnet au Liban, le chef du conseil exécutif du Hezbollah, Sayyed Hachem Safieddine, a souligné que son parti n’est « pas la résistance qui attend les Américains et les Israéliens pour décider de son sort ».
« C’est nous qui décidons du sort du Sud, de la frontière et de l’avenir de ce pays face à l’ennemi, que nous ne laisserons pas attaquer Gaza sans se décourager », a déclaré Safieddine.
C’est une déclaration des plus claire de la part du Hezbollah disant au gouvernement libanais d’aller se faire foutre.
C’est ce qui se produit lorsque l’on permet à des groupes terroristes de se développer sans entrave, motivés par un désir malavisé de maintenir la paix. Soit il y aura encore beaucoup d’effusion de sang sur toute la ligne, soit il se rendra.
Si Israël avait détruit le Hamas lors de la guerre de 2009, d’innombrables vies auraient été sauvées. Mais aucun des « experts » ou des « analystes » ne peut voir la vérité : plus vous attendez pour détruire le mal, plus le mal devient puissant. Penser qu’il se transforme en un gouvernement ou une partie du gouvernement responsable et légitime, comme les soi-disant experts l’ont insisté auprès du Hamas et du Hezbollah, est un vœu pieux qui se substitue à une véritable analyse.
