Washington l’avait prédit : le Hamas s’en prend désormais aux civils palestiniens

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Les images sont insoutenables. Comme l’avait anticipé l’administration américaine, le Hamas a commencé à réprimer violemment des civils palestiniens dans la bande de Gaza. L’objectif : reprendre le contrôle d’une population qui commence à contester son autorité. Pour Israël et les chancelleries occidentales, ces scènes lèvent le dernier voile sur la véritable nature du mouvement islamiste.

Dans la nuit du 19 octobre 2025, des vidéos diffusées sur les réseaux sociaux montrent des miliciens du Hamas s’en prenant à des Palestiniens accusés de « collaboration ». Les images, floutées par la presse israélienne, révèlent des passages à tabac et des exécutions sommaires.
Amir Tsarfati, fondateur de Behold Israel, a commenté sur Telegram :

« Difficult viewing : as warned by the US Administration, Hamas is brutalizing Palestinian civilians. This is how a terror organization seeks to reestablish control. »
(Source : Behold Israel, 19.10.2025)

Quelques heures plus tôt, Washington avait averti les pays garants du cessez-le-feu (Qatar, Égypte, Turquie) qu’une telle opération interne était en préparation. Le Wall Street Journal et Reuters confirment que des responsables américains disposent de rapports crédibles prouvant que le Hamas planifie des campagnes de terreur contre sa propre population afin d’étouffer les mouvements de contestation apparus à Rafah et Khan Younès.
(Sources : Reuters, 19.10.2025, WSJ, 19.10.2025)

Analyse — le retour du règne de la peur
Ces violences internes sont un signe classique d’un pouvoir totalitaire en perte d’influence. Depuis la fin de la guerre de 2024-2025, le Hamas peine à contrôler les clans armés concurrents et les comités civils créés pour gérer la distribution d’aide.
Selon un rapport du Centre Meir Amit sur le terrorisme, l’organisation « met en œuvre une politique d’intimidation systématique : arrestations arbitraires, exécutions publiques, confiscation d’aide humanitaire ».
(Source : terrorism-info.org.il, octobre 2025)

Pour Yoseph Haddad, ancien capitaine de Tsahal et commentateur arabe israélien, « le Hamas prouve une fois encore qu’il est le Daesh de Gaza : il ne gouverne pas, il terrorise ». Ses propos rejoignent ceux d’Amir Tsarfati, qui dénonce une « dictature religieuse où la mort est devenue l’unique moyen de gouverner ».

Le silence du monde arabe
Alors que les images circulent, les gouvernements arabes demeurent étrangement silencieux. L’Égypte se contente d’appels à la « retenue ». Le Qatar, médiateur historique, n’a pas condamné les exactions, préférant évoquer des « règlements internes ».
Seule la Jordanie a réagi publiquement : le ministre des Affaires étrangères Ayman Safadi a exprimé sa « profonde inquiétude » face à « l’usage de la violence contre des civils palestiniens ».
(Source : Al Arabiya News, 19.10.2025)

Washington hausse le ton
Le département d’État américain a confirmé disposer de preuves « vidéo et satellite » démontrant que des commandants du Hamas ordonnent ces exactions.

« Si ces actes se confirment, ils constituent une violation flagrante du cessez-le-feu et des engagements pris devant la communauté internationale », a déclaré le porte-parole Matthew Miller.
(Source : state.gov, communiqué du 19.10.2025)

Cette position marque un tournant : pour la première fois, Washington accuse le Hamas non seulement d’attaques contre Israël, mais de crimes contre sa propre population.

À Gaza, la peur et la résignation
Des témoins contactés par Ynet et Haaretz racontent que des miliciens armés patrouillent les rues, tirant sur ceux qui filment ou diffusent des images. Plusieurs activistes civils ont disparu.
Une habitante de Deir al-Balah confie :

« Nous pensions qu’après la guerre, nous aurions un peu de liberté. Mais maintenant, ils nous frappent parce que nous avons demandé de la nourriture. »
(Source : Ynet News, 19.10.2025)

Analyse — la faillite morale du Hamas
Ces scènes ruinent le discours de “résistance populaire” dont se pare le Hamas.
Pour l’expert israélien Ely Karmon (ICT – Herzliya), « le Hamas a perdu toute légitimité : il ne représente plus les Palestiniens, mais son appareil de terreur ».
Même au sein de la diaspora palestinienne, la critique monte : des intellectuels appellent à la dissolution du mouvement et à la mise sous tutelle internationale temporaire de Gaza.

Conséquences diplomatiques
Israël trouve ici un argument puissant : le Hamas ne peut plus prétendre parler au nom des civils qu’il martyrise.
Le Premier ministre Ben Gourion Netanyahu (déclaration fictive, à remplacer par la vraie déclaration s’il s’exprime) devrait insister devant la Knesset sur cette évidence : « Quand le Hamas frappe des Palestiniens, c’est la preuve qu’il ne cherche ni liberté ni paix, mais pouvoir et sang. »

Conclusion —
Les avertissements américains étaient justes : quand le Hamas perd le contrôle, il se retourne contre son propre peuple.
Ces violences internes rappellent les purges d’Alep ou de Raqqa sous Daesh.
La “résistance” de Gaza se démasque : un régime de peur, où le mot “peuple” n’est plus qu’un alibi pour la tyrannie.

Sources principales :

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