Une nouvelle ligne rouge vient d’être tracée par Israël et les États-Unis, qui s’apprêtent à présenter au Hamas un ultimatum clair et non négociable :
– Démilitarisation totale de la bande de Gaza
– Libération immédiate de tous les otages israéliens
– Mise en place d’une administration provisoire internationale dirigée par les Américains
Si ces trois conditions ne sont pas remplies dans les délais fixés, Tsahal lancera une opération militaire d’extermination contre ce qui reste du régime terroriste du Hamas à Gaza.
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Cette annonce marque un tournant historique. Car au fond, combien de fois Israël a-t-il « ouvert les portes de l’enfer » pour ensuite les refermer à moitié, laissant le monstre reconstituer ses forces ? Une vingtaine de fois ? Trente ? Et à chaque cycle, le bilan est le même : 60 000 terroristes tués, certes. Mais le cœur du Hamas continue de battre, et les otages croupissent toujours dans les tunnels — à 666 jours de captivité.
Est-ce cela une guerre ? Une guerre contre une organisation néo-nazie, qui massacre, qui viole, qui brûle les vivants ?
On ose parler d’opérations « chirurgicales », de « ciblage proportionné ». Mais ce que l’Histoire exige, c’est une victoire totale, sans équivoque, comme celle que l’Union soviétique avait imposée à l’Allemagne nazie. Demandez à Joukov ou Rokossovski, ces deux géants militaires qui ont broyé la Wehrmacht à Stalingrad et Berlin : que penseraient-ils de cette guerre de demi-mesures, entrecoupée de pauses humanitaires ?
« C’est pour cela que nous vous avons libérés d’Auschwitz et de Treblinka ? Pour que vous acceptiez à nouveau d’être regardés comme des Juifs faibles et méprisables ? »
Voilà la question qui hante les survivants et les descendants, alors que le monde détourne les yeux, alors que la Maison Blanche sous Trump reprend les commandes, mais tarde encore à frapper le dernier coup fatal.
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Israël a montré sa puissance. La Syrie est à genoux, son armée n’existe plus. Le Hezbollah est acculé, ses infrastructures détruites. Les installations nucléaires de l’Iran ont été visées avec succès par les forces israéliennes et américaines, dans une coordination sans précédent.
La colonne chiite, qui formait l’axe stratégique contre l’État hébreu, est désormais en miettes.
Il ne reste plus que Gaza.
Le dernier bastion.
La dernière bataille.
Il ne s’agit pas de faim, de punition collective ou de vengeance. Il s’agit de briser une idéologie génocidaire et de libérer nos otages. Une fois pour toutes.
Le moment est venu de parler moins, et d’agir davantage. Car à force de demi-mesures, c’est notre image de nation souveraine qui s’érode. Et l’ennemi, lui, n’hésite jamais. Il frappe, il viole, il ment — et il recommencera.
Il est temps de changer l’équation. Définitivement.
Par Infos-Israel.News
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