Turkish Airlines plie bagage : que savent-ils que nous ignorons ?

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Par Infos Israel News – 24 juin 2025

Quand une des plus grandes compagnies aériennes du monde annule tous ses vols vers le Golfe en quelques secondes, la question est simple : que savent-ils que nous ne savons pas encore ?

Ce lundi soir, Turkish Airlines a annoncé l’annulation immédiate de l’ensemble de ses vols à destination des Émirats arabes unis, sans grande explication – sinon un petit mot magique : « par mesure de précaution ». Une formulation qui, en langage diplomatique, veut dire : « Courez pour vos vies, mais en silence. »

Et si l’on en croit les rumeurs venues d’Ankara, d’autres suspensions de vols vers le Golfe sont en préparation. Doha, Dubaï, Bahreïn… autant dire que le ciel devient aussi incertain que les prédictions météo de la télévision iranienne.


Une réponse qui plane

Bien sûr, Turkish Airlines n’est pas seule dans cette valse aérienne vers la sortie de secours. En parallèle, le Qatar a fermé son espace aérien, renvoyant des centaines de vols dans toutes les directions sauf la bonne. On imagine déjà les pilotes en pleine confusion :

« Commandant, on va où maintenant ? »
« N’importe où, mais pas vers les ayatollahs. »

Les compagnies aériennes occidentales, quant à elles, observent le mouvement. Certaines réfléchissent à suspendre les vols, d’autres vérifient si leurs avions sont équipés de parachutes. C’est dire la confiance.


Iranian Airways, premier dans les sondages… de panique

Derrière ces décisions, une cause bien identifiée : la crainte grandissante d’une attaque iranienne immédiate sur des cibles situées dans les États du Golfe. Le tout, en réponse directe aux frappes américaines et israéliennes contre les installations nucléaires de l’Iran.

Entre menaces de missiles, intimidation sur les réseaux sociaux, et pétrodollars qui tremblent, la situation devient… disons, turbulente.


Turkish Airlines : spécialiste du plan de vol… vers la sortie

D’aucuns pourraient voir dans cette annonce un excès de prudence. Mais connaissant la diplomatie turque et son instinct de survie géopolitique légendaire, on peut se demander si les dirigeants d’Ankara n’ont pas reçu un petit texto confidentiel de Téhéran du genre :

« Ne planifiez rien cette semaine, ça va secouer. »

Car rappelons-le : la Turquie joue depuis des années le funambule régional. Un pied dans l’OTAN, un autre dans le monde musulman, et la tête tournée vers les investissements qataris. Résultat : quand ça pète, on plie bagage discrètement, en invoquant la météo.


Qatar ferme son ciel. Turkish ferme ses ailes.

Le Qatar a fermé son espace aérien. Turkish Airlines ferme ses vols. Les compagnies américaines, elles, surveillent les radars.
Et nous, pauvres passagers de l’histoire, nous regardons le ciel avec cette question simple : ça explose quand ?

Le fait que des compagnies ultra-rentables renoncent volontairement à des dizaines de millions d’euros de billets n’indique qu’une chose : le risque n’est plus théorique. C’est un compte à rebours.


Et Israël dans tout ça ?

Pendant que les avions font demi-tour, Israël garde le cap. On ne ferme pas son espace aérien, on ne panique pas, on renforce la défense aérienne, on prépare les abris, on fait le plein d’ironie… et on continue à vivre.

Et surtout : on ne se cache pas derrière une fausse neutralité diplomatique. Car contrairement à d’autres, Israël ne fuit pas le danger, il l’affronte.


La leçon : fuyez, compagnies, fuyez !

Ce nouvel épisode aérien est une illustration parfaite du principe de réalité à géométrie variable. Quand Israël frappe une cible militaire en Iran, on crie à la provocation.
Quand l’Iran menace tout un continent, on annule les vols en catimini.

Moralité : les seuls qui prennent leurs responsabilités, ce sont ceux que l’on critique en boucle.


Conclusion : entre ciel fermé et vérité ouverte

Alors que Turkish Airlines bat des records de vitesse… en marche arrière, et que le Golfe se prépare à devenir une piste d’atterrissage pour ogives en colère, la vraie question reste entière :

Qui protégera les innocents si les compagnies ne font que fuir ?

Israël ne ferme pas son ciel.
Il le défend.
Et c’est peut-être la seule attitude sensée dans un monde où tout le monde décolle… sauf la vérité.

Infos Israel News


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