Le Mossad paralysé ? Le silence assourdissant de Dedi Barnea face aux assassins en costard du Hamas à l’étranger

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Le temps passe, les otages agonisent, les familles implorent — et les dirigeants du Hamas, eux, sirotent leur café dans les hôtels de luxe du Moyen-Orient. Le plus effrayant ? Ils sont intouchables.

Et ce n’est pas parce qu’ils sont cachés.

Le Mossad, autrefois fleuron du renseignement israélien, est aujourd’hui la cible d’une colère croissante au sein même de Tsahal et de l’appareil sécuritaire. À la tête de la tempête : Dedi Barnea, un nom qui symbolise désormais l’inaction face à une guerre d’extermination menée contre Israël.

Quand le Shin Bet se substitue au Mossad

Selon des sources internes citées par le journaliste Avi Ashkenazi, le Shin Bet a été contraint d’ouvrir une unité spéciale pour prendre en charge… ce que le Mossad a volontairement négligé : la traque des hauts responsables du Hamas à l’étranger.

Car aucune élimination ciblée de poids n’a été enregistrée depuis le 7 octobre dans les rangs de la direction extérieure du Hamas. Ni à Doha, ni à Istanbul, ni à Beyrouth. Et pourtant, les cibles ne manquent pas. On connaît leurs noms. On connaît leurs hôtels. On connaît leurs allées et venues.

Alors pourquoi ce silence ?

“C’est une tache noire sur le Mossad, qui s’est endormi en pleine guerre”, s’indigne un haut responsable sécuritaire.

Une guerre à moitié menée = un échec total

Israël a promis “l’éradication du Hamas”. Mais comment croire à cette promesse quand les planificateurs du pogrom du 7 octobre se promènent librement sous escorte qatarie ?

Pendant que les soldats d’Ougda 162 purgent jusqu’au dernier tunnel à Beit Hanoun et Jabaliya, aucun dirigeant terroriste de premier plan n’a été éliminé hors de Gaza. C’est comme si la guerre ne concernait que les pions, jamais les généraux.

Le silence de Dedi Barnea est encore plus assourdissant quand on le confronte à la réalité du terrain :

“Les otages sont toujours là, les chefs du Hamas aussi. Alors où est le Mossad ?”

Une direction politique complice ?

Ce fiasco ne peut être isolé. Il s’inscrit dans un climat général de paralysie stratégique. La machine de guerre israélienne est performante. Les unités d’élite avancent. Le renseignement tactique est excellent.
Mais la direction politique et la direction du Mossad semblent en pilotage automatique.

Le général Eyal Zamir, lors d’une visite à Gaza, a tenu un discours bien plus lucide que tous les discours ministériels :

“Nous avons atteint des résultats remarquables, mais il reste à transformer ces succès en décisions stratégiques claires et en objectifs atteints.”

Autrement dit : l’armée a fait sa part. À la politique et au renseignement maintenant de faire la leur.

Le Hamas doit craindre Israël dans toutes ses cachettes

L’un des piliers de la dissuasion israélienne a toujours été clair : où que tu sois, Israël te retrouvera. Cette doctrine, forgée par Golda Meir et perfectionnée par Mossier Dayan et Trump dans ses accords d’Abraham, semble aujourd’hui… suspendue.

“Tant qu’Israël n’aura pas frappé à Istanbul, à Doha ou à Beyrouth, le Hamas ne craindra rien”, résume un expert du contre-terrorisme.

Et de rappeler que les USA sous Trump n’ont jamais hésité à neutraliser les chefs ennemis, que ce soit avec les drones ou par opérations spéciales. Israël ne peut plus se contenter de mots.


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