Le meilleur des serpents a la tête coupée : la sagesse du Rav Bigon face au défi iranien

0
213
Soyez le premier informé - Rejoignez notre page Facebook.

Alors qu’Israël est engagé dans une guerre de l’ombre contre l’Iran, le Rav Dov Bigon, fondateur de la yeshiva Maale HaRa’ah, nous offre une parabole saisissante : “Le meilleur des serpents a la tête coupée.” Une phrase forte, symbolique, qui s’inscrit parfaitement dans le contexte des événements récents.

Une parole de Torah dans une guerre existentielle

Le Rav Dov Bigon n’est pas un homme de slogans politiques. Ancien officier de Tsahal devenu figure spirituelle du renouveau religieux-sioniste, il prêche la fermeté morale et la foi dans les promesses de la Torah. Mais parfois, quelques mots suffisent pour traduire une réalité militaire, géopolitique et spirituelle.

Ce 13 juin 2025, alors que l’armée de l’air israélienne menait des frappes ciblées en Iran, notamment à Shiraz et Tabriz, les mots du Rav Bigon ont été repris sur Channel 7 :

« הנחש הכי טוב – הוא נחש שראשו נקטע. »
« Le meilleur des serpents, c’est celui à qui on a coupé la tête. »

Une référence biblique, bien sûr. Le serpent est l’ennemi ancestral d’Israël, symbole du mensonge, de la menace rampante, du danger invisible. Et pour s’en débarrasser, il ne suffit pas de l’effrayer : il faut trancher sa tête.

Le serpent moderne : la République islamique d’Iran

Depuis plus de vingt ans, l’Iran agit en serpent : il ne frappe pas frontalement, mais insuffle le poison dans des centaines de veines terroristes. Hamas à Gaza, Hezbollah au Liban, milices chiites en Syrie, houthis au Yémen, cyberattaques et financement d’ONG soi-disant humanitaires – la stratégie de Téhéran est globale, rampante, et profondément idéologique.

Le régime des ayatollahs ne cache pas son objectif : rayer Israël de la carte. Son guide suprême, Khamenei, en parle comme d’un devoir sacré. L’arme nucléaire n’est pas seulement un outil stratégique, c’est une menace existentielle.

Dans ce contexte, les récentes frappes israéliennes ne sont pas un simple exercice de puissance : elles traduisent une volonté de neutraliser la tête du serpent. Ce n’est pas un jeu d’équilibre. C’est une guerre pour la vie.

Frappes à Shiraz et Tabriz : le coup porté à la tête

Les explosions à Shiraz et à Tabriz n’étaient pas des frappes aléatoires. Selon plusieurs sources militaires, des centres de commandement, des dépôts d’armement stratégique et des installations liées au programme balistique iranien ont été visés.

Loin de simples représailles, ces actions sont le fruit d’un long processus de renseignement, de dissimulation et de planification. Israël, fidèle à sa doctrine de défense proactive, agit avant d’être attaqué.

Et c’est justement ce que le Rav Bigon veut dire. Un serpent n’est pas un adversaire avec qui l’on signe des accords de paix. Un serpent, on le neutralise avant qu’il ne morde.

Le soutien du peuple, la force morale de Tsahal

La déclaration du Rav Bigon s’inscrit aussi dans un moment de solidarité nationale rare. Malgré les débats internes, les divisions politiques, les douleurs de la guerre, le peuple d’Israël se rassemble autour de ses soldats.

Le jour même, un père endeuillé, dont le fils est tombé au combat, déclarait à Benyamin Netanyahou :

« Le temps est venu d’écraser la tête du serpent. »

Cette convergence entre la douleur, la foi et l’action militaire n’est pas anodine. Elle montre que, face à la menace iranienne, le front israélien n’est pas seulement militaire – il est spirituel, identitaire, existentiel.

Ne pas écouter les voix du compromis facile

Certains, dans les médias internationaux et même en Europe, appellent Israël à « la retenue ». Ils parlent de « désescalade », comme s’il s’agissait d’un conflit de frontières, ou d’un malentendu diplomatique.

Mais la sagesse juive, elle, ne tombe pas dans ce piège. Le serpent ne change pas de nature. Il peut être endormi, silencieux, masqué. Mais son intention reste la même. Et comme le dit le Rav Bigon – il faut trancher la tête.

Il ne s’agit pas d’agir par vengeance ou par haine, mais par lucidité. La Torah nous enseigne que lorsqu’un danger est clair et persistant, la passivité devient une faute.

Un message pour la génération d’aujourd’hui

Les jeunes Israéliens d’aujourd’hui, qu’ils soient soldats, étudiants, pionniers dans la tech ou agriculteurs dans le Néguev, sont les héritiers d’une tradition de courage enracinée dans une conscience morale.
La parole du Rav Bigon n’est pas une incitation à la violence. Elle est une leçon de responsabilité.
Elle nous rappelle que dans un monde où le mal sait se camoufler, la clairvoyance et la force sont deux vertus inséparables.

Une guerre juste, un combat prophétique

Certains diront que cette rhétorique est trop religieuse, trop imagée. Pourtant, les textes juifs ont toujours accompagné les combats d’Israël. Dans la Bible, David ne frappe pas Goliath pour la gloire, mais parce qu’il offense le Dieu d’Israël. Dans le Talmud, défendre la vie contre un agresseur est un devoir sacré.

Aujourd’hui, Israël se tient dans cette tradition : ne pas céder, ne pas reculer, ne pas attendre que le serpent frappe pour agir. Les frappes de juin 2025, si elles sont suivies d’une politique cohérente, pourraient bien marquer un tournant stratégique dans la région.

Conclusion : La tête du serpent comme métaphore de lucidité

Dans un monde confus, où les ennemis se maquillent en victimes, où les armes se cachent derrière des hôpitaux et où l’antisémitisme avance sous couvert de « justice humanitaire », les paroles claires du Rav Dov Bigon sont une lumière.

Oui, le meilleur des serpents est celui à qui l’on a tranché la tête.
Non par cruauté. Mais parce que la survie d’un peuple juste, enraciné sur sa terre, ne peut se permettre le luxe de l’aveuglement.

Israël agit. Israël sait. Israël vit.
Et les voix de ses sages, comme celle du Rav Bigon, lui donnent la boussole morale pour continuer à défendre l’avenir.

[signoff]

Infos Israel News en direct d’Israël 

Ce qu'on vous cache - CQVC 

Rak Be Israel, le top d’Israël !