La haine anti-israélienne frappe encore en France : les bureaux d’El Al à Paris vandalisés par des activistes pro-palestiniens

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Les tensions antisémites ne faiblissent pas en Europe, et c’est désormais au cœur de Paris que la haine s’est exprimée, cette fois contre la compagnie aérienne nationale israélienne El Al. Dans la nuit de mardi à mercredi, les bureaux d’El Al dans la capitale française ont été vandalisés par un groupe d’activistes pro-palestiniens. Sur les murs, une peinture rouge sang accompagnée d’inscriptions calomnieuses : « El Al, compagnie génocidaire », et le classique « Free Palestine ».

Si l’acte n’a heureusement pas causé de blessés, la symbolique est forte et lourde de sens, dans une France où les attaques contre les Juifs, les symboles israéliens et les touristes israéliens se multiplient. La compagnie El Al a publié une réaction officielle :

« Cet incident grave, survenu alors que les locaux étaient vides, ne met pas en danger nos équipes, mais il démontre une montée inquiétante de l’antisémitisme déguisé en militantisme politique. El Al arbore fièrement le drapeau d’Israël sur ses avions, et condamne toute forme de violence, en particulier celle fondée sur une haine des Juifs. »


La réponse cinglante de la ministre israélienne des Transports

La ministre des Transports israélienne Miri Regev n’a pas mâché ses mots. Dans une déclaration officielle virulente, elle a directement pointé du doigt la responsabilité morale du président français Emmanuel Macron :

« Citoyens français, réveillez-vous ! Aujourd’hui, c’est El Al. Demain, ce sera Air France. Quand le président Macron offre des cadeaux diplomatiques au Hamas, voilà le résultat. Je condamne cet acte barbare et antisémite, et j’appelle les autorités françaises à retrouver les auteurs et à les punir sévèrement. »


Une attaque dans un contexte européen de plus en plus hostile à Israël

Cette agression survient dans un climat de plus en plus toxique envers Israël à travers l’Europe, où les manifestations pro-palestiniennes débordent souvent en actes antisémites. En Grèce, le mois dernier, environ 150 manifestants pro-palestiniens ont forcé une croisière israélienne à détourner sa route du port de Syros vers Chypre.

Et plus récemment encore, des passagers juifs à bord d’un vol Buenos Aires – Madrid ont reçu des plateaux-repas casher sur lesquels figurait une inscription politique choquante : « Libérez la Palestine ».

Ces exemples, loin d’être isolés, illustrent une radicalisation préoccupante d’une partie de l’opinion publique européenne, alimentée par une tolérance politique ambiguë, des médias complaisants, et une absence de fermeté des gouvernements face aux débordements.


La ligne rouge est franchie : attaquer El Al, c’est s’en prendre à Israël tout entier

El Al ne représente pas qu’une simple compagnie aérienne. C’est un symbole vivant d’Israël, de son peuple, de son histoire et de sa résilience. L’attaquer, c’est s’attaquer à Israël dans ce qu’il a de plus visible sur le sol européen.

Ces actes ne doivent pas être pris à la légère. L’impunité ne peut être une option. Paris, Bruxelles, Madrid, Berlin… les capitales européennes doivent choisir entre tolérer la haine ou défendre les valeurs démocratiques qu’elles prétendent incarner.


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