La France capitule face à Trump : Reconnaissance des Palestiniens – « Une insulte personnelle au président »

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Alors que le conflit israélo-palestinien continue de faire trembler les équilibres géopolitiques mondiaux, une déclaration choc secoue les chancelleries : Donald Trump aurait qualifié la reconnaissance unilatérale de l’État palestinien par la France d’« insulte personnelle ».

Une prise de position aussi tranchée que symbolique, qui révèle les failles croissantes entre l’Europe de l’Ouest et les soutiens historiques d’Israël, à l’heure où le Moyen-Orient est plus instable que jamais.

La reconnaissance palestinienne : un geste à contre-courant

Le président français Emmanuel Macron a récemment entériné un geste attendu mais lourd de conséquences diplomatiques : la reconnaissance officielle d’un État palestinien, dans une coordination précipitée avec l’Espagne, l’Irlande, et d’autres pays européens.

Si cette décision se veut « symbolique » et « morale », elle arrive en plein cœur d’un conflit ravivé par les atrocités du Hamas le 7 octobre 2023, et en l’absence totale de réformes ou de garanties venant de l’Autorité palestinienne.

Trump : « Une trahison des valeurs occidentales »

L’ancien président américain Donald Trump, dont l’influence reste colossale dans les cercles diplomatiques internationaux, a immédiatement réagi :

« Reconnaître un État palestinien aujourd’hui, c’est comme reconnaître un groupe terroriste comme interlocuteur légitime. La France a insulté l’histoire, insulté Israël, insulté ses alliés… et m’a insulté personnellement. »

Cette réaction n’est pas qu’émotionnelle : Trump a été l’un des plus grands défenseurs d’Israël à la Maison Blanche, orchestrant le transfert de l’ambassade à Jérusalem, la reconnaissance du Golan, et les Accords d’Abraham. Pour lui, cette reconnaissance palestinienne unilatérale est une gifle politique, surtout à l’approche d’élections américaines tendues.

Une fracture transatlantique de plus en plus visible

La position française crée un fossé de plus en plus profond entre l’Europe de l’Ouest et les États-Unis républicains, mais aussi avec Israël. Tandis que Joe Biden reste modéré, tentant de maintenir une certaine unité de façade avec les Européens, le camp Trump hausse le ton.

Des sénateurs américains ont même proposé de geler certains programmes de coopération avec la France, en guise de représailles diplomatiques.

Israël furieux : « Ce n’est pas une reconnaissance de la paix, mais de la terreur »

Du côté israélien, la colère est palpable. Le ministre des Affaires étrangères Israel Katz a déclaré :

« En agissant de cette manière, la France récompense une entité qui n’a pas tenu d’élections depuis près de 20 ans, qui glorifie les terroristes, et dont les dirigeants légitiment le massacre du 7 octobre. Ce n’est pas une reconnaissance de la paix, mais une capitulation devant la terreur. »

Les familles d’otages, elles aussi, ont réagi, dénonçant le timing odieux de cette annonce, alors que leurs proches sont encore détenus à Gaza.

Une Europe divisée

Tous les pays européens n’avalent pas la pilule aussi facilement. L’Allemagne, l’Italie, la République tchèque et la Hongrie ont clairement indiqué qu’ils ne reconnaîtront pas un État palestinien sans un accord négocié avec Israël.

Le chancelier allemand Olaf Scholz a souligné :

« Une paix durable ne peut pas être décrétée unilatéralement. Elle doit être construite avec les deux parties. »

Un message qui sonne comme un rappel salutaire face à l’idéalisme désincarné de certaines élites bruxelloises.

La position de l’Autorité palestinienne : ambiguë et inquiétante

Mahmoud Abbas, le président vieillissant de l’Autorité palestinienne, a salué cette reconnaissance comme une « victoire historique ». Pourtant, aucune réforme n’a été entreprise, ni pour désarmer les groupes radicaux, ni pour épurer les manuels scolaires de la haine d’Israël.

Pire : des manifestations pro-Hamas ont été tolérées en Cisjordanie, sans aucune condamnation officielle. Cette complaisance nourrit les inquiétudes de ceux qui redoutent une fusion idéologique entre le Hamas et l’AP, à peine masquée par la façade diplomatique.

Un pari risqué pour Macron

Pour Emmanuel Macron, cette reconnaissance est censée réaffirmer l’indépendance diplomatique de la France, et marquer un soutien aux aspirations palestiniennes. Mais le pari est doublement risqué :

  1. Il isole la France de ses alliés atlantiques, notamment au sein de l’OTAN ;
  2. Il ne s’accompagne d’aucune exigence concrète envers les Palestiniens, ce qui décrédibilise son utilité.

Certains diplomates français eux-mêmes s’interrogent sur l’intérêt stratégique d’un tel geste, qui pourrait alimenter l’antisémitisme local et fragiliser les relations avec les pays du Golfe qui soutiennent désormais Israël.

L’ombre du 7 octobre toujours présente

Reconnaître un État palestinien après le 7 octobre, sans conditions ni garanties, c’est, pour beaucoup en Israël, banaliser le massacre, et nier la réalité du terrorisme islamiste. Le traumatisme est encore vif, et cette décision, si elle se voulait diplomatique, est vécue comme une agression morale.

Et maintenant ?

Israël pourrait réagir en gelant certains dialogues bilatéraux avec la France, voire en réévaluant la participation à certains forums diplomatiques européens. Des appels à rappeler l’ambassadeur israélien à Paris circulent dans la Knesset.

De son côté, Trump promet des représailles symboliques, s’il revient au pouvoir : retrait de certains soutiens, pressions sur l’ONU, voire sanctions ciblées contre les institutions promouvant une reconnaissance non négociée.

Conclusion : un choix qui coûte cher

La reconnaissance unilatérale d’un État palestinien par la France n’a rien résolu sur le terrain. Elle n’a pas rapproché la paix, ni apaisé les tensions. Elle a, en revanche, révélé les fractures idéologiques entre l’Occident traditionnel et les nations lucides sur la nature du terrorisme moderne.

Et pour Israël, une chose est claire : le peuple juif ne quémandera pas sa légitimité. Il l’a gagnée dans le sang, la douleur, et la résilience. Ceux qui l’oublient aujourd’hui perdront demain leur place dans l’histoire.

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