Karina Pritika : le visage que le monde ne doit pas oublier

0
270
Soyez le premier informé - Rejoignez notre page Facebook.

Le 7 octobre, les terroristes du Hamas ne se sont pas contentés de tuer. Ils ont traqué, torturé et assassiné des innocents, simplement parce qu’ils étaient juifs, simplement parce qu’ils étaient Israéliens.

Parmi ces victimes, Karina Pritika, 23 ans, gymnaste israélienne, « celle qui répandait la lumière ». Les images de ses derniers instants devraient hanter chaque conscience libre.
Après avoir vu sa meilleure amie Maya Haïm (22 ans) exécutée sous ses yeux, Karina court, encore et encore, épuisée, cherchant désespérément à échapper à ses poursuivants.
Un terroriste du Hamas la rattrape. Elle lève les mains, implore qu’on l’épargne. Il lui tire dessus à bout portant.

Karina était née au Portugal. Elle avait grandi en Israël, s’entraînant dès l’âge de 4 ans au club Maccabi Petah Tikva. Elle avait porté fièrement le drapeau bleu et blanc sur la scène internationale.

Ce 7 octobre, elle n’était pas une soldate. Elle n’était pas armée. Elle était simplement une jeune femme juive, et pour le Hamas, cela suffisait pour la condamner à mort.

Cette guerre n’a pas commencé par des frontières, des discours ou des négociations.
Elle a commencé par un massacre antisémite, des crimes de haine filmés et revendiqués par leurs auteurs.
Chaque fois que certains parlent de « cessez-le-feu » ou d’« État palestinien », souvenez-vous du visage de Karina, de Maya, et des centaines d’innocents assassinés.

Oublier, c’est trahir.
Se souvenir, c’est se battre.

.

 

Infos Israel News en direct d’Israël 

Ce qu'on vous cache - CQVC 

Rak Be Israel, le top d’Israël !