Israël doit redéfinir les règles du jeu à Gaza : la seule langue que comprend le Hamas, c’est la perte de territoire

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Tandis que les médias internationaux s’empêtrent dans le pessimisme, les complaintes et la rhétorique de la défaite, il est urgent de rétablir la vérité : Israël remporte une série de victoires historiques. Le Hezbollah est à genoux, l’armée syrienne n’est plus qu’une façade vide, les installations nucléaires iraniennes ont été visées efficacement par des opérations israélo-américaines coordonnées, et l’axe chiite, longtemps colonne vertébrale de la menace régionale contre Israël, s’est effondré. Il ne reste aujourd’hui qu’un maillon à faire tomber : Gaza.

Mais l’achèvement de cette guerre, désormais en phase finale, se heurte à un enjeu particulièrement délicat : les otages. Israël est une nation profondément humaine. Trop humaine parfois. Elle a prouvé à de nombreuses reprises qu’elle était prête à payer un prix démesuré pour ramener chacun de ses enfants. Le traumatisme du « deal Shalit », qui a vu la libération de plus de 1 000 terroristes contre un seul soldat, reste gravé dans la mémoire nationale. Avons-nous tiré les leçons de cette erreur stratégique ? Le moment est venu de le démontrer.

Aujourd’hui, alors que l’armée israélienne contrôle plus de 70 % du territoire de Gaza, un ultimatum clair doit être posé au Hamas :
Si, à une date précise, les otages ne sont pas libérés et qu’aucune reddition complète n’est engagée, Israël annexera une première bande périphérique — soit environ 17 % de Gaza. Et cette initiative devra être appuyée ouvertement par Washington, désormais pleinement aligné avec Jérusalem.

Pourquoi cela ? Parce que la seule chose que le Hamas et la société palestinienne comprennent, c’est la perte de territoire. Chaque concession israélienne est perçue comme une victoire. Chaque recul, comme un encouragement à la violence. À l’inverse, chaque parcelle perdue est pour eux une catastrophe existentielle, une seconde Nakba. Alors soyons clairs : toute absence de réponse entraînera une nouvelle vague d’annexions. Par cercles successifs. Jusqu’à leur capitulation complète.

Et dans les terres récupérées, nous sèmerons du blé, nous bâtirons des kibboutzim, nous construirons des quartiers. Et les caméras du monde entier verront comment Israël fait refleurir le désert, même sur les ruines de la barbarie islamiste.

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Attention, il ne s’agit pas de famine collective ni de punition aveugle. La nourriture et les médicaments continueront d’être acheminés, mais aucune infrastructure ne sera reconstruite, aucun port ne verra le jour, et aucune perspective économique ne sera envisagée tant que les terroristes n’auront pas rendu chaque otage et accepté leur défaite. Ceux qui ont choisi l’enlèvement et la guerre ne peuvent aspirer à une vie normale.

Cet ultimatum doit être clair, direct, et militairement soutenu. Il est temps de renverser la logique infernale : chaque geste de faiblesse nourrit la violence. À partir de maintenant, la règle est simple :
➡️ Vous voulez un avenir ? Rendez les otages.
Vous refusez ? Votre territoire se réduira encore, jusqu’à votre propre anéantissement.

C’est ainsi qu’agit une nation puissante. Une puissance ferme mais humaine. Et ceux qui croient pouvoir manipuler ou briser Israël doivent savoir qu’ils jouent avec une force qu’ils ne comprennent pas.

✍️ Par Prof. Moshe Cohen-Eliya
Pour Infos-Israel.News

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