Guerre à Gaza : quand 27 États demandent l’accès des journalistes, Israël rappelle la réalité du terrain

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Vingt-sept pays, dont la France, ont signé une lettre adressée à Israël pour demander l’ouverture immédiate de Gaza aux journalistes étrangers. Sous la bannière de la « Media Freedom Coalition » (MFC) – regroupant 51 États et soutenue par l’UNESCO – ces pays affirment vouloir garantir la liberté de la presse dans la région, afin de « mettre en lumière la catastrophe humanitaire » qui se déroulerait dans l’enclave palestinienne.

À première vue, la requête semble noble. Mais vue depuis Jérusalem, elle apparaît comme une nouvelle offensive diplomatique, dissimulée derrière le masque des « droits humains ».

Un contexte oublié par l’Occident

Depuis le 7 octobre 2023, Israël n’a cessé de répéter que le Hamas fait de Gaza un champ de bataille urbain. Tunnels, boucliers humains, détournement d’hôpitaux et d’écoles : la réalité est que chaque rue de Gaza est militarisée par une organisation terroriste reconnue comme telle par l’Union européenne et les États-Unis eux-mêmes.

Ouvrir Gaza à des journalistes étrangers sans contrôle strict ? C’est leur livrer en pâture le terrain le plus dangereux au monde, où les milices du Hamas utilisent la presse comme protection et outil de propagande. Israël rappelle que plusieurs reporters locaux ont été identifiés comme membres actifs du Hamas ou du Jihad islamique – une infiltration confirmée par de nombreux rapports, mais souvent ignorée par les chancelleries européennes.

Le « deux poids, deux mesures » permanent

La France, la Grande-Bretagne et l’Australie – aujourd’hui très promptes à exiger la « transparence israélienne » – n’ont pourtant jamais demandé aux talibans, à Daech en Syrie, ou aux cartels mexicains d’ouvrir leurs zones de guerre aux caméras étrangères. Pourquoi cette insistance obsessionnelle envers Israël ?

La réponse est simple : Israël est jugé à des standards que nul autre État au monde n’a à respecter. Une hypocrisie dénoncée à maintes reprises par les diplomates israéliens.

La guerre de l’image : une arme du Hamas

Comme l’explique Wikipedia sur le Hamas, le mouvement islamiste exploite systématiquement les civils et les infrastructures civiles pour manipuler l’opinion internationale. Chaque cliché d’un bâtiment détruit devient une victoire médiatique. Chaque photo d’enfant blessé est transformée en missile diplomatique contre Israël, même lorsque la responsabilité directe revient à une roquette ratée du Hamas.

Permettre à des journalistes étrangers d’entrer librement sans cadre sécuritaire, c’est leur donner un rôle involontaire – mais stratégique – dans cette guerre de propagande.

Israël ne nie pas, il agit

Contrairement à ce que prétendent certains signataires de la MFC, Israël n’a jamais interdit le travail des journalistes. De nombreux reporters étrangers couvrent déjà la guerre depuis Israël, depuis Jérusalem et même depuis la frontière de Gaza. Mais exiger un accès libre à l’enclave alors que des combats s’y déroulent est tout simplement irresponsable. Tsahal n’a pas vocation à escorter des cameramen dans des zones où ses propres soldats tombent sous le feu du Hamas.

Par ailleurs, Israël rappelle que depuis le début du conflit, plus de 10 000 camions d’aide humanitaire sont entrés à Gaza, dont 80 % chargés de nourriture, entraînant une baisse nette des prix alimentaires. Des faits que bien peu de médias occidentaux relaient, trop occupés à répéter les accusations d’« ONG locales » contrôlées par le Hamas.

La véritable transparence : celle que le Hamas refuse

Si la France et ses partenaires étaient sincèrement attachés à la liberté de la presse, pourquoi ne pas exiger la même ouverture du côté du Hamas ? Pourquoi ne pas demander que les tunnels soient filmés, que les dépôts d’armes soient montrés, que les otages encore retenus à Gaza soient interviewés ?

La réponse saute aux yeux : parce que cela mettrait à nu la responsabilité du Hamas dans la tragédie gazaouie – et que ce n’est pas le narratif recherché.

Israël tiendra bon

Dans ce climat, le message d’Israël est clair : la priorité reste la sécurité de ses citoyens et de ses soldats, pas la satisfaction médiatique des capitales européennes. Comme l’a rappelé le ministre Shlomo Karhi récemment : « La vraie compassion est pour nos frères, pas pour nos ennemis nazis. »

Alors que le monde occidental joue la carte de la posture morale, Israël continue d’assumer sa mission : détruire le Hamas, protéger sa population, et reconstruire un avenir où la vérité primera sur la propagande.

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