Ah, la France… pays du fromage, du vin et… des contrôleurs aériens qui transforment la tour de contrôle en tribune militante. Dernier épisode en date : un pilote d’El Al qui demande poliment la piste pour atterrir, et qui reçoit en retour un grandiose « Free Palestine » comme si c’était le mot de passe pour un bar à chicha de banlieue.
On imagine la scène :
— Pilote : « Ici vol LY324, demande autorisation d’atterrissage. »
— Contrôleur : « LY324… Free Palestine ! »
— Pilote : « … et pour la météo, c’est quoi, Free Corsica ? »
Car oui, pendant que les avions arrivent du monde entier, la France, elle, n’arrive plus à atterrir sur ses propres pieds. Les aéroports ressemblent de plus en plus à un mélange entre Bienvenue chez les Frères Musulmans et Zone Interdite. La sécurité ? Remplacée par un comité d’accueil idéologique.
Pendant que les tours de contrôle jouent au Che Guevara du micro, la France elle-même est en chute libre. Vague migratoire incontrôlable, bidonvilles qui poussent plus vite que les boulangeries, et un État qui gère ses frontières comme on gère un frigo vide : on ouvre, on ferme, et on espère qu’il reste quelque chose de comestible.
Mais pour certains, la priorité n’est pas de régler le chaos intérieur, non. La priorité, c’est de hurler « Free Palestine » à un pilote israélien, comme si ça allait libérer Gaza et transformer la Seine-Saint-Denis en jardin public.
Et puis, soyons honnêtes : quand on voit l’état des gares, des hôpitaux et des commissariats en France, on se dit que ce pays ferait mieux de commencer par crier « Free France ». Parce que là, entre les rodéos urbains, les violences quotidiennes et l’immigration massive que personne ne sait (ou ne veut) gérer, le pays ressemble de plus en plus à un sketch de Coluche… mais sans le rire.
Moralité : quand un pays ne sait plus comment survivre à sa propre politique migratoire, qu’il ferme ses usines, qu’il subventionne ses émeutiers et qu’il transforme ses fonctionnaires en influenceurs pro-Hamas, peut-être qu’il est temps de mettre la priorité… sur sa propre piste d’atterrissage.
Parce qu’à force de jouer les héros de causes étrangères, la France risque un jour de se réveiller… sans piste, sans tour, et sans France.
Sabrina Netivot de Infos Israel News.
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