Exode à Gaza : 370 000 habitants fuient face à l’avancée de Tsahal et à la désinformation du Hamas

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L’avancée militaire israélienne dans la bande de Gaza provoque un bouleversement sans précédent. Selon les estimations de la défense israélienne, plus de 370 000 habitants de Gaza City ont quitté leurs foyers pour se diriger vers le sud de l’enclave. Pour Tsahal, ce déplacement massif n’est pas seulement le signe d’une tragédie humanitaire, mais surtout la preuve de l’effondrement du contrôle du Hamas, désormais incapable de protéger une population qu’il a instrumentalisée pendant des années comme bouclier humain.

Depuis plusieurs jours, l’armée israélienne a intensifié ses opérations dans les quartiers centraux de Gaza City : Sheikh Radwan au nord, Al-Karama à l’ouest, Rimal et Tel al-Hawa au sud. L’offensive combine frappes aériennes de précision, tirs d’artillerie massifs et infiltration de blindés et véhicules téléguidés. L’objectif déclaré est clair : détruire les infrastructures stratégiques du Hamas — tunnels, dépôts d’armes, postes de commandement — et neutraliser les milliers de terroristes encore retranchés au cœur de la ville.

Hamas en panique : la guerre de la désinformation

Face à cette avancée, le Hamas multiplie les manipulations. Tsahal a révélé que l’organisation diffuse des tracts et images falsifiées pour semer la panique et brouiller les consignes d’évacuation. L’armée a pourtant répété à de nombreuses reprises que les civils devaient se diriger vers la zone humanitaire de Muwassi, à l’ouest de Khan Younès, où ils pourraient trouver refuge.

« Le Hamas est en état d’hystérie, il utilise le mensonge comme une arme supplémentaire », a déclaré un porte-parole militaire. Les responsables israéliens insistent : chaque civil resté au nord le fait sous la pression du Hamas, qui les empêche de quitter les zones de combat afin de continuer à les exploiter comme boucliers humains.

Des témoignages sous contrôle du Hamas

Dans les médias locaux et sur les réseaux sociaux circulent des récits de familles décrivant leur fuite comme un « voyage de mort ». Mais ces témoignages, largement relayés par des canaux affiliés au Hamas, servent à nourrir une narration accusant Israël d’attaques indiscriminées. Tsahal, de son côté, rappelle que les frappes sont systématiquement ciblées sur des positions terroristes, et que les pertes civiles sont la conséquence directe de la présence volontaire du Hamas au cœur des zones habitées.

Cette stratégie cynique, qui consiste à cacher armes et combattants dans des immeubles résidentiels, des écoles ou des hôpitaux, est dénoncée depuis des années par Israël. Aujourd’hui, l’ampleur des destructions à Gaza City illustre à quel point le Hamas a transformé ses propres habitants en otages d’une guerre qu’il a déclenchée.

La controverse autour de l’UNRWA

Les Nations unies, par la voix de Philippe Lazzarini, commissaire général de l’UNRWA, ont dénoncé la frappe de plusieurs bâtiments utilisés comme abris, notamment des écoles et des cliniques. Mais Israël souligne que nombre de ces installations ont été détournées par le Hamas à des fins militaires, servant à lancer des roquettes ou à stocker des armes. L’accusation n’est pas nouvelle : de nombreux rapports, y compris européens, ont déjà montré que l’UNRWA a perdu tout contrôle sur ses infrastructures, devenues des bases arrière du terrorisme islamiste.

Israël rejette donc les appels à une « enquête internationale », estimant que la véritable enquête devrait se concentrer sur l’infiltration systématique du Hamas dans les structures civiles et humanitaires.

Une avancée militaire majeure

Au-delà de la bataille de communication, la réalité militaire est sans appel : Tsahal contrôle désormais environ 75 % du territoire de la bande de Gaza. L’exode massif en est une preuve supplémentaire : des centaines de milliers de civils quittent les zones que le Hamas disait « invincibles », confirmant la perte de légitimité et de pouvoir de l’organisation terroriste.

Cette avancée est le fruit d’une stratégie méthodique : après l’échec des négociations pour une nouvelle libération d’otages, Israël a décidé de porter l’effort principal sur Gaza City. Les opérations « Oz VeHerev » puis « Merkavot Gidéon B » ont permis de briser les lignes ennemies et de pénétrer dans les quartiers centraux. Pour les familles d’otages, regroupées dans le Forum Tikva, l’exigence est claire : cette fois, l’opération doit se solder par l’écrasement total du Hamas et non par une demi-victoire.

Une bataille aux répercussions régionales

Sur le plan diplomatique, la pression s’accroît. Les ONG et l’ONU parlent de « catastrophe humanitaire », tandis que Washington réaffirme son soutien à Israël tout en demandant de limiter les pertes civiles. L’Europe, de son côté, reste divisée : certaines capitales, comme Paris ou Madrid, appellent à reconnaître un État palestinien, tandis que d’autres, comme Budapest ou Prague, refusent toute sanction contre Israël.

Mais pour Jérusalem, l’enjeu dépasse les critiques internationales : il s’agit de garantir la sécurité des citoyens israéliens, de libérer les otages encore aux mains du Hamas et d’envoyer un message de souveraineté : Israël ne reculera pas face à une organisation terroriste.

Conclusion

L’exode de 370 000 Gazaouis ne traduit pas seulement la détresse d’une population prise en otage : il révèle l’effondrement progressif du Hamas et la réussite stratégique de Tsahal. À mesure que l’armée avance vers le cœur de Gaza City, l’organisation islamiste se trouve acculée, décrédibilisée et isolée.

Israël sait que le prix de cette guerre est lourd, mais la leçon est claire : il n’y aura pas de retour en arrière. Ni pour les otages, ni pour la sécurité des villes israéliennes bombardées, ni pour l’avenir du Proche-Orient. La bataille de Gaza est plus qu’un combat militaire : c’est un acte de survie nationale et une démonstration que, face au terrorisme, l’État d’Israël ne pliera jamais.

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