A l’entrée de l’entrée de Meron, vous pouvez lire l’expression, « « כי לא תשכח מפי זרעו »» L’acronyme de ce verset est Yochai, du nom du père de Rashbi, mais c’est un verset spécial, qui vient nous renforcer sur les épreuves qui nous arriveront à la fin des temps.
Le verset entier est cité dans le Parashat Haazino, dans lequel se trouvent tous les événements de l’histoire. Voici le verset complet:
« וְהָיָה כִּי תִמְצֶאןָ אֹתוֹ רָעוֹת רַבּוֹת וְצָרוֹת וְעָנְתָה הַשִּׁירָה הַזֹּאת לְפָנָיו לְעֵד כִּי לֹא תִשָּׁכַח מִפִּי זַרְעוֹ »
Ce verset réconfortant, est si actuel pour nos sentiments à la suite de l’horrible tragédie:
« » ְוהָיָה כִּי תִמְצֶאןָ אֹתוֹ רָעוֹת רַבּוֹת וְצָרוֹת », »
On trouve un code qui parle du désastre de Meron, qui commence par ce verset et se termine par le mot «veuve».
Comme nous le verrons sur la photo, sur les mots « הר-מירון » apparaît, exactement dans le même saut, un mot de consolation (Nehama) aux gens dans la douleur de la perte d’un proche :
« נחמו » (כלשון הפסוק « נַחֲמוּ נַחֲמוּ עַמִּי יֹאמַר אֱלֹהֵיכֶם »)
Dans ce code apparaissent les dates 1971 et 1951, qui sont les deux années au cours desquelles d’horribles catastrophes se sont produites à l’occasion du Rashbi lors de la Hiloula
Et le mot: «mort», est également intéressant de noter que le bilan des morts, du nombre de 45, a la même gématria pour le mot «rédemption» (Guéoula).
Renforçons-nous, cela même quand nous sommes dans de moments difficiles car tout vient d’en haut, et tout nous conduit à la grande lumière pour une rédemption complète, renforçons nous dans la foi et l’étude de la Torah, et nous ferons en sorte qu’elle ne soit pas oubliée «de la bouche de sa semence» : « מִפִּי זַרְעוֹ ».