Le projet inquiétant d’une Europe islamisée : la Grande-Bretagne, porte d’entrée d’une nouvelle « conquête » religieuse

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Ce qui se trame aujourd’hui en Grande-Bretagne n’est pas un simple débat politique, c’est une mutation civilisationnelle programmée et méthodique qui risque d’embraser tout le continent européen. L’avertissement est clair : la démocratie britannique est devenue un cheval de Troie au service d’une minorité islamiste radicale prête à imposer sa vision totalitaire et religieuse, au mépris des valeurs occidentales.

Le ton fut donné au parlement britannique par le député Andrew Bridgen, dans un discours coup de poing dénonçant les conséquences dramatiques de décennies de laxisme migratoire et de bien-pensance idéologique. Il n’a pas hésité à affirmer que plus de 250 000 femmes et jeunes filles ont été violées en Grande-Bretagne au cours du siècle dernier, et que 90% de ces crimes auraient été commis par des musulmans. Immédiatement taxé d’islamophobie par la gauche et les milieux médiatiques, ce chiffre a pourtant ouvert la voie à une introspection brutale sur l’échec patent du multiculturalisme à l’anglaise.

Les scandales de Rotherham, Rochdale, Oxford ou encore Birmingham, où des réseaux pakistanais musulmans ont exploité sexuellement des milliers de jeunes filles, ne sont plus des faits divers : ils incarnent la soumission des institutions par peur d’être accusées de racisme. Selon le rapport officiel dirigé par la Professeure Alexis Jay, les autorités « savaient mais ont préféré sacrifier les victimes sur l’autel du silence politique ». Une complicité par lâcheté qui a ouvert la voie à l’entrisme islamiste.

Et cet entrisme prend désormais des formes politiques assumées. Les dernières élections britanniques de 2024 ont révélé un activisme sans précédent des communautés musulmanes via le mouvement The Muslim Vote, qui a mobilisé des centaines de milliers d’électeurs pour faire élire des candidats pro-palestiniens et farouchement anti-israéliens. Résultat : quatre députés pro-palestiniens ont été élus, et dans dix circonscriptions, le Labour a perdu sa majorité. Des villes comme Bradford, Birmingham ou Oldham voient émerger des pouvoirs locaux acquis aux thèses islamistes, au détriment des traditions britanniques.

Le Premier ministre travailliste Keir Starmer, loin d’incarner la fermeté, a capitulé sous la pression, allant jusqu’à présenter des excuses publiques pour ne pas avoir exigé plus tôt un cessez-le-feu à Gaza. Il incarne cette classe politique tétanisée par le vote communautaire, renonçant à défendre l’allié historique israélien pour plaire à un électorat musulman exigeant.

Le Guardian a publié un sondage édifiant : 45% des électeurs musulmans britanniques estiment que la situation à Gaza influence directement leur vote, contre seulement 12% du reste de la population. Le conflit israélo-palestinien est ainsi devenu un levier politique national en Grande-Bretagne, voire un chantage électoral. Une situation dénoncée par les observateurs comme une « capture de l’Etat » par des extrémistes islamistes, comme le souligne le journaliste David Rose qui estime que « la Grande-Bretagne n’est plus une monarchie libérale mais un espace politique dominé par des pressions communautaires ».

Pour enfoncer le clou, un camp d’été islamique pour enfants de 9 à 14 ans suscite l’inquiétude. Organisé par l’Ahlulbayt Islamic Mission (AIM) en lien avec l’Iran, ce camp impose la séparation stricte des sexes, le port du hijab obligatoire, et diffuse la propagande de l’ayatollah Khamenei, guide suprême de la République islamique. Un lavage de cerveau institutionnalisé, légalisé par une démocratie permissive, qui prépare les futures générations à l’obéissance religieuse et à la haine d’Israël.

Cette infiltration ne se limite pas à la sphère religieuse : elle s’étend aux médias, aux institutions éducatives, et même à certains élus. Des députés britanniques osent désormais afficher leur soutien au Hamas, pendant que d’autres redoutent d’apporter un quelconque appui public à Israël, par peur de représailles électorales ou communautaires.

Le problème n’est pas l’islam en tant que foi personnelle, mais sa politisation agressive, alimentée par des financements étrangers, notamment iraniens et qataris. La Grande-Bretagne a offert à ces extrémistes une opportunité en or : utiliser les failles de la démocratie pour instaurer, étape par étape, un nouveau modèle politique, où la charia devient la norme implicite dans certains quartiers, et où la soumission culturelle se généralise.

Les autres pays européens seraient bien avisés d’ouvrir les yeux. La France, par exemple, connaît déjà les effets du communautarisme et de l’islamisme radical, notamment dans certaines banlieues où l’Etat ne fait plus la loi. Mais la Grande-Bretagne, par son aveuglement et son obsession du politiquement correct, trace une voie directe vers la subversion interne.

Face à cette menace, il est impératif que les démocraties européennes renforcent leur législation pour contrer les influences étrangères sur leurs institutions et interdire les associations qui prônent, même indirectement, l’établissement d’une gouvernance islamique. Ce n’est pas un combat contre une religion mais contre un projet politique de conquête, porté par des organisations comme Hizb ut-Tahrir ou l’AIM, désormais interdites en Grande-Bretagne mais actives ailleurs en Europe.

Les liens entre cette dynamique et la haine d’Israël sont flagrants. Le rejet d’Israël devient l’étendard de ralliement de ces mouvements, utilisés pour fédérer et radicaliser les jeunes musulmans européens. Israël, dans cette perspective, n’est pas qu’un Etat : il est le symbole de l’Occident, du progrès, de la réussite juive, donc l’ennemi à abattre.

Dans ce contexte, il est essentiel pour Israël et ses alliés de renforcer leurs actions diplomatiques et médiatiques en Europe pour contrer la désinformation et l’entrisme islamiste. Comme l’illustre le site Infos-Israel.News, https://infos-israel.news/category/alerte-info-24-24/, qui décrypte quotidiennement ces tentatives de déstabilisation, ou encore Alyaexpress-News, https://alyaexpress-news.com/, qui informe sur la diaspora juive et la montée de l’antisémitisme, il faut impérativement réveiller les consciences.

Enfin, l’Europe doit se souvenir que l’histoire ne pardonne pas l’aveuglement. Dans moins de trente ans, les Britanniques pourraient bien devenir minoritaires sur leur propre terre. Le compte à rebours a commencé. Le test ultime pour l’Europe, et en premier lieu pour la Grande-Bretagne, sera de restaurer ses frontières physiques, culturelles et spirituelles avant qu’il ne soit trop tard.

Infos-Israel.News

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