Trump avertit l’Iran : : « La prochaine vague d’attaques planifiée sera encore plus brutale »

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Le président des États-Unis, Donald J. Trump, a adressé ce 13 juin une mise en garde directe et sans détour au régime iranien, lui conseillant de conclure un accord avec l’Occident sans plus attendre. Cette déclaration intervient dans un climat d’extrême tension au Moyen-Orient, après les frappes israéliennes sur Shiraz et Tabriz, et marque un tournant dans la posture stratégique de la Maison-Blanche.

Un message présidentiel sans ambiguïté

Depuis son retour à la Maison-Blanche en janvier 2025, Donald Trump n’a pas mâché ses mots sur les dossiers internationaux les plus brûlants. Mais c’est la première fois, depuis le début de la nouvelle crise israélo-iranienne, qu’il s’exprime aussi clairement :

« L’Iran ferait bien de conclure un accord MAINTENANT, avant qu’il ne soit trop tard. »

Le ton est ferme, le sous-texte limpide : l’administration Trump ne permettra pas à l’Iran d’accéder au statut de puissance nucléaire, ni de menacer Israël ou les alliés des États-Unis dans la région.

Contexte : une opération israélienne retentissante

La déclaration de Trump intervient dans la foulée d’une opération militaire spectaculaire menée par Israël, qui a frappé des cibles militaires sensibles sur le sol iranien. Selon plusieurs sources sécuritaires, les cibles visées à Shiraz et Tabriz incluaient des centres logistiques des Gardiens de la Révolution, des dépôts d’armement, et des antennes de commandement.

L’Iran, visiblement pris de court, a promis de réagir… sans pour autant passer à l’acte. Le Hezbollah lui-même a annoncé qu’il ne riposterait pas, signe que la dissuasion israélienne fonctionne.

Et dans ce contexte, la voix du président Trump résonne comme un avertissement sérieux, soutenant l’action israélienne.

L’accord nucléaire : mort ou renaissance ?

Sous son premier mandat, Donald Trump avait retiré les États-Unis de l’accord de Vienne (JCPOA) en 2018, dénonçant un texte « catastrophique ». En 2025, le président ne change pas de ligne : pas de chèque en blanc au régime des ayatollahs.

Mais en appelant publiquement l’Iran à négocier, Trump laisse une porte ouverte — étroite, mais réelle. Il sait que la pression militaire, économique et diplomatique pourrait forcer Téhéran à revenir à la table des négociations, à condition de le faire depuis une position de faiblesse.

Une déclaration en soutien à Israël

Même si le nom d’Israël n’est pas explicitement cité dans la déclaration, l’implication est claire : Trump soutient pleinement le droit d’Israël à se défendre. Il le faisait déjà dans son premier mandat (avec le transfert de l’ambassade à Jérusalem, les Accords d’Abraham, et la reconnaissance de la souveraineté sur le Golan), et il le confirme aujourd’hui.

Le message envoyé à Téhéran est double :

  1. Israël n’est pas isolé.
  2. Une attaque contre Israël pourrait entraîner une réaction américaine directe.

Le régime iranien dos au mur

Avec cette déclaration présidentielle, l’Iran se retrouve acculé :

  • Son principal allié, la Russie, est occupée en Ukraine.
  • Ses milices, comme le Hezbollah, ne veulent pas entrer en guerre.
  • Son économie s’effondre, malgré les circuits de contournement des sanctions.
  • Et les manifestations populaires internes minent sa légitimité.

Face à cela, les options de Téhéran sont limitées : conclure un accord et sauver ce qui peut l’être… ou risquer l’affrontement, sans certitude de soutien régional ni international.

Une dynamique favorable à Israël

Pour Jérusalem, la déclaration de Trump est un soutien diplomatique de poids, qui s’ajoute à son succès militaire. Israël n’a pas besoin de Washington pour agir — mais l’appui américain renforce son message de dissuasion.

Netanyahou, qui entretient une relation solide avec Trump, peut maintenant agir avec l’assurance que le président américain est prêt à couvrir ses initiatives. Et cela pourrait faire basculer les calculs du régime iranien.

Un signal pour les capitales arabes

Les monarchies du Golfe, discrètement alignées sur Israël face à l’Iran, voient dans cette déclaration un signe de clarté américaine. Sous Biden, la politique vis-à-vis de l’Iran avait été ambiguë. Avec Trump, le cap est net : pas de complaisance envers Téhéran.

Des pays comme l’Arabie Saoudite, les Émirats arabes unis ou Bahreïn pourraient renforcer leur coopération sécuritaire avec Israël, dans le sillage de ce soutien américain renouvelé.

Une promesse électorale tenue

En revenant au pouvoir, Donald Trump avait promis de restaurer la puissance et la crédibilité des États-Unis sur la scène internationale. Avec cette déclaration, il réaffirme que :

  • les régimes terroristes n’ont aucun avenir,
  • les alliés des États-Unis sont soutenus sans ambiguïté,
  • et que la paix passe par la force.

Ce n’est pas une posture électoraliste : c’est une stratégie assumée, qui renoue avec la doctrine américaine traditionnelle de dissuasion et de leadership global.

Conclusion : une nouvelle ère de fermeté

La déclaration de Donald Trump n’est pas un simple avertissement. C’est une ligne rouge tracée à l’encre permanente.
L’Iran est prévenu : soit il choisit le dialogue sur la base du désarmement réel, soit il s’expose à une réaction coordonnée entre Israël et les États-Unis.

Israël, de son côté, avance méthodiquement, avec la certitude d’avoir le soutien du président américain. Et le monde observe : le temps de la confusion diplomatique semble révolu.

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