« L’entité sioniste le regrettera » : la menace creuse d’un régime à bout de souffle

0
281
Soyez le premier informé - Rejoignez notre page Facebook.

« L’entité sioniste le regrettera » : la menace creuse d’un régime à bout de souffle
Le président iranien a violemment réagi aux frappes israéliennes du 13 juin sur Shiraz et Tabriz en déclarant : « L’entité sioniste le regrettera ». Une déclaration solennelle, martelée devant les caméras, qui traduit autant la colère que la vulnérabilité du régime des mollahs. Car en réalité, ce n’est pas Israël qui tremble – c’est Téhéran.

Une menace de plus… sans effet
Depuis plus de 40 ans, les dirigeants iraniens menacent Israël de disparition. Des slogans comme « Mort à Israël » sont scandés chaque vendredi dans les mosquées contrôlées par le régime. Des missiles sont baptisés au nom des villes israéliennes qu’ils souhaitent rayer de la carte. Et chaque action d’Israël, aussi défensive soit-elle, est immédiatement suivie de grandes déclarations enflammées.

Mais derrière les mots grandiloquents du président iranien, il n’y a ni plan crédible, ni capacité opérationnelle directe.
Ce genre de menace n’est pas nouveau. Ce qui est nouveau, en revanche, c’est la réaction ferme, précise et stratégique d’Israël.

Israël frappe, l’Iran réagit – mais ne riposte pas
Les frappes israéliennes du 13 juin ont ciblé des infrastructures militaires stratégiques dans les villes iraniennes de Shiraz et Tabriz. Selon les premières analyses, des centres logistiques, des dépôts d’armement et des antennes de commandement ont été atteints.

Et qu’a fait l’Iran ? Il a… menacé.
Pas de riposte réelle. Pas d’attaque immédiate. Juste des mots.
Car l’Iran sait que toute attaque frontale contre Israël entraînerait une réponse écrasante. Ce n’est pas une exagération. C’est un fait militaire.

Le masque de la puissance islamique craque
Le régime iranien tente depuis des années de projeter une image de puissance invincible. Il alimente des groupes terroristes, infiltre des milices, lance des drones depuis la Syrie ou le Yémen. Mais les récentes attaques israéliennes ont montré une faille : l’Iran lui-même n’est plus intouchable.

La riposte de Téhéran ? Changer de commandants militaires. Réorganiser les Gardiens de la Révolution. Diffuser des vidéos d’anciens missiles. Et menacer Israël devant les caméras.

Cela montre une chose : la peur change de camp.

Israël agit dans le cadre de la légitime défense
Contrairement à ce que prétend le président iranien, Israël n’est pas l’agresseur. Il ne cherche pas la guerre. Mais il ne la fuira pas non plus.

L’Iran constitue une menace stratégique majeure :

Il finance et arme le Hezbollah, le Hamas, le Jihad islamique
Il construit des usines de missiles au Liban et en Syrie
Il développe des têtes nucléaires et des lanceurs à longue portée
Il a récemment menacé le site nucléaire de Dimona
Dans ces conditions, les frappes israéliennes ne sont ni provocatrices ni gratuites : elles sont nécessaires.

Le message de Jérusalem est clair : nous n’attendrons pas que les bombes tombent sur Tel-Aviv pour réagir.

Des propos qui masquent une réalité intérieure difficile
Si le président iranien durcit le ton, c’est aussi parce que la situation intérieure du pays est explosive.
Inflation galopante, pauvreté croissante, jeunesse en colère, révolte des femmes – le régime est contesté de toutes parts. Il a besoin d’un ennemi extérieur pour détourner l’attention.

Et quoi de mieux qu’Israël, cible classique des régimes autoritaires du Moyen-Orient ?
C’est une vieille recette : instrumentaliser la haine d’Israël pour renforcer l’unité nationale.
Mais cette fois, la population iranienne n’est plus dupe. Elle ne se mobilise plus pour des slogans, mais pour sa liberté.

L’unité israélienne face aux menaces
Pendant ce temps, en Israël, les menaces iraniennes renforcent l’unité du peuple. Les tensions politiques internes s’effacent, ne serait-ce que temporairement, devant la nécessité de faire front commun.

Des voix de toutes tendances saluent la précision des frappes et la fermeté du gouvernement. Les familles de soldats, les anciens combattants, les réservistes, les rabbins – tous comprennent l’enjeu existentiel de cette confrontation.

Israël ne menace personne. Il protège ses enfants.
Et cela, aucune rhétorique incendiaire ne pourra l’effacer.

Le président iranien se trompe de siècle
Dans sa déclaration, le président iranien a utilisé le terme « entité sioniste » – un langage hérité des années 1970, quand les dictatures arabes refusaient encore de reconnaître l’existence d’Israël.

Mais nous ne sommes plus en 1973. Israël est une puissance technologique, militaire, diplomatique.
Il est reconnu par les États du Golfe, par l’Afrique, par l’Asie.
Il siège à l’ONU. Il commerce avec le monde. Il sauve des vies dans les tremblements de terre. Il envoie des satellites dans l’espace.

L’« entité sioniste » que l’Iran voudrait voir disparaître… est une réalité indestructible.

Si regret il y a, ce sera en Iran
Israël ne regrettera pas ses frappes. Elles sont ciblées, réfléchies, défensives.

En revanche, le régime iranien pourrait bien regretter sa politique d’hostilité permanente :

Il perd ses alliés modérés
Il s’isole sur la scène internationale
Il pousse sa jeunesse à la révolte
Et il donne à Israël la légitimité totale pour agir.
Le jour où la communauté internationale cessera de détourner les yeux, le régime iranien comprendra que son jeu a des limites. Et que l’époque où l’on pouvait menacer impunément Israël est révolue.

Conclusion : Quand l’ennemi parle fort, c’est qu’il est blessé
La menace du président iranien – « L’entité sioniste le regrettera » – sonne comme une déclaration de frustration.
Elle ne change rien à la donne stratégique. Elle révèle simplement que les frappes israéliennes ont atteint leur cible, dans tous les sens du terme.

Israël, lui, reste fidèle à sa mission : protéger ses citoyens, défendre sa souveraineté, et agir avec force, mais aussi avec responsabilité.

Et si regret il doit y avoir, ce sera du côté de ceux qui auront sous-estimé la détermination d’un peuple à ne jamais revivre l’impuissance.

[signoff]

Infos Israel News en direct d’Israël 

Ce qu'on vous cache - CQVC 

Rak Be Israel, le top d’Israël !