Souillées violemment par Satan, sublimées par Hachem ! – Par Philippe ARNON

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En ce 8 mars, Journée internationale de la Femme, je ne peux retenir mes larmes à la pensée ô combien douloureuse du martyr qu’ont subi les femmes au cours de cette journée apocalyptique du 7 octobre. Et puis, dans une mécanique incontrôlable, cette pensée en appelle toute une série d’autres où j’entends des cris horribles, des cris aigus, où je vois des jambes qui se débattent, des visages rougis, où je perçois une hystérie de désespoir, et une masse noire étouffante qui s’apesantit, qui râle telle un fauve de fièvre et qui se retire enfin et s’en va loin, sans se retourner bien sûr sur ce qui n’est plus qu’une loque souvent sanglotante et que le souffle de la vie a même parfois quitté. Je pense à ses millions et ses millions de femmes victimes de cette force sexuelle irrésistible qui sévit en tant de guerre dans la plus grande des libertés putrides et pernicieuses.
Hashem qui n’est pourtant qu’Amour, a pourtant prévenu les hommes, il leur a dit la peine qu’ils encouraient s’ils ne contrôlaient pas la bête en eux, s’ils ne respectaient pas Sa main qui les a créé, corps et âme :
« 25. Mais si c’est en pleine campagne que l’homme trouve la jeune fille fiancée et qu’il la viole, lui seul sera mis à mort.
26. Mais vous ne ferez rien à la jeune fille, car elle n’a pas commis de faute qui mérite la mort. En effet, elle s’est trouvée dans le même cas que lorsqu’un homme attaque son prochain et le tue.
27. Puisque que c’est en plein champ que l’homme l’a rencontrée, elle aura eu beau crier, personne n’est venu à son secour » Deutéronome 22.27
 
Dans toutes les guerres (et même en période de paix à titre individuel), c’est toujours « en plein champ » et qu’elles ont « beau crier » que les femmes sont violées par les soldats vainqueurs, battues et pénétrées comme un troupeau d’êtres fragiles, ne disposant d’aucunes forces naturelles pour résister, si ce n’est que fuite qui restent presque toujours vaine.
Mais ce moment infâme, qui n’aura duré peut-être que trois minutes, juste le temps que la bête en rage finisse par se soulager, (à moins que la femme entravée ait subi l’assaut de plusieurs crapules … comme ce fut le cas en Italie avec les Marocains de l’armée française ce qui créa dans la langue italienne ce substantif horrible « marocchinate » tant le traumatisme fut immense) laisse parfois dans le corps de la malheureuse victime UNE TRACE DE LA SOUILLURE INFLIGEE !
 
Et ce qu’il y a de phénoménal et d’incompréhensible, de renversant pour toute personne rationnelle, c’est qu’il arrive parfois que cette trace … laisse parfois arriver dans l’immensité de ce monde toujours tourmenté, un tout petit enfant pur et innocent qui s’attache à sa maman, se réconforte en ses bras et sa douce chaleur et se nourrisse de son bon lait ! Et que sa maman, TOUJOURS ! l’accueille avec la plus grande des bienveillances et lui sourit constamment. C’est qu’EN FAIT, de l’horrible marque infligée par Satan, Hachem réussit -et c’est là où on la preuve qu’il sort toujours vainqueur de sa lutte avec l’Adversaire !- à imposer l’opposé total de l’acte d’infamie, c’est à dire la pureté et la beauté mêmes qui atteignent l’apothéose : LA VIE ! Je suis conscient bien sûr que nombre de femmes victimes d’un tel outrage et surtout aujourd’hui ! feront tout pour avorter, essayant d’effacer à jamais la salissure subie, même si dans le passé, avorter était une infamie … et non une valeur constitutionnelle comme en France ! Oui, Hachem est toujours vainqueur, et c’est pourquoi je suis tranquille : Israël vaincra car c’est Satan qu’il combat, parce que pour Lui, il n’y a que la vie qui prime contrairement aux autres qui font de la mort un objet orgasmique.
 
Tous les hommes ne sont pas des bêtes fauves sans respect pour les femmes mais de gentilles créatures d’Hachem. Lisez ces quelques vers de notre poète Alfonse de Lamartine dans Novissima Verba :
 » … Femmes, anges mortels, Création divine,
Seul rayon dont la vie un moment s’illumine
Je le dis à cette heure, heure de vérité,
Comme je l’aurais dit quand devant la beauté,
Mon corps épanoui, qui se sentait éclore,
Fondait comme une neige aux rayons de l’aurore !
Je ne regrette rien en ce monde que vous
Ce que la vie humaine a d’amer et de doux,
Ce qui la fait brûler, ce qui trahit en elle
Je ne sais quel parfum de la vie immortelle,
C’est vous seules ! Par vous toute joie est amour 
Ombres des liens parfaits du céleste séjour,
 
Vous êtes ici-bas la goutte sans mélange
Que Dieu laissa tomber de la coupe de l’ange
… »
 
Je suis goy. Vive Israël !
Philippe ARNON
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