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Une scène de désolation et d’horreur totale, de jeunes filles juives aux seins coupés, des petits enfants portant de nombreuses blessures au couteau et des familles entières enfermées dans leurs maisons et brûlées vives, a été décrite par un correspondant de la Jewish Telegraphic Agency, qui a réussi à joindre cette ville aujourd’hui.
« Il faudra des jours avant que le monde obtienne une image fidèle de toutes les atrocités commises par les Arabes lors du pogrom du quartier juif », a télégraphié le correspondant.
« La seule comparaison à laquelle je puisse penser est celle des émeutes palestiniennes de 1929. J’ai trouvé des filles juives aux seins coupés, des Juifs à la barbe grise poignardés à mort, des petits enfants juifs morts de nombreuses blessures au couteau et des familles entières enfermées dans leurs maisons et brûlées vives par les émeutiers.
Ceux qui disent que « l’histoire n’a pas commencé le 7 octobre » ont tout à fait raison. Les Arabes ont attaqué sans pitié les Juifs, sous quelque prétexte que ce soit, pendant des siècles auparavant – et, tout comme aujourd’hui, ils considèrent ces massacres comme des batailles honorables.
En fin de compte, 25 Juifs ont été assassinés et plus d’un millier ont été contraints de quitter leurs foyers.
Un journal algérien a interviewé l’historien Dr. Ammar Talebi, à propos de l’événement, a décrit le massacre en termes héroïques, affirmant que les Juifs avaient insulté Mahomet et tué des enfants musulmans, puis avaient été confrontés. [Les médias algériens réécrivent souvent l’épisode pour se donner un air héroïque.] L’historien lui-même établit une comparaison entre Constantine et le 7 octobre, en disant : « C’est la politique [des Juifs] depuis la bataille de Constantine jusqu’à la bataille de Gaza. Leur État sera anéanti.