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Jeudi, l’agent de liaison américain le plus haut gradé auprès des Arabes palestiniens a accordé une large interview aux médias palestiniens à Ramallah.
Jeudi, un haut responsable américain a évoqué la rencontre entre le président américain Joe Biden et son homologue palestinien, Mahmoud Abbas, à Bethléem, lors de sa visite dans la région le 13 de ce mois.
Lors de sa rencontre avec plusieurs journalistes dans la ville de Ramallah, le chef du bureau américain des affaires palestiniennes, George Noll, a confirmé que le président Abbas avait présenté à Biden ses revendications, qu’il aspire à réaliser, pour le peuple palestinien.
Noel a déclaré : « Le président Biden a répondu à son homologue palestinien que ces demandes ont besoin du Seigneur Jésus-Christ, le faiseur de miracles, pour les satisfaire » .
Noll n’a pas caché que le président Biden avait ressenti une grande sympathie pour les Palestiniens, indiquant qu’il y avait des limites à ce que l’Amérique pouvait faire pour faire pression sur Israël pour qu’il mette fin à l’occupation.
Le responsable américain a ajouté : « L’Amérique est contre l’occupation et contre les colonies, mais il y a ceux qui croient que les États-Unis sont capables de prendre le téléphone et de demander à Israël de faire ceci ou cela, ce qui n’est pas le cas. »
Il a souligné que Biden avait de l’empathie pour la violation de la dignité des Palestiniens, indiquant que c’était ce qui l’avait poussé à souligner l’importance de préserver la dignité du peuple palestinien.
Noll a également souligné que le président Biden a réaffirmé la position américaine d’une solution politique négociée sur la base de la solution à deux États, trouvant une solution négociée à Jérusalem, arrêtant les colonies et obtenant des mesures égales pour les Palestiniens et les Israéliens.
Le chef du bureau américain des affaires palestiniennes à Jérusalem a souligné que l’idée de Palestiniens voyageant par l’aéroport de Ramon dans le sud de la Palestine occupée (sic) n’est pas une idée américaine, expliquant qu’ils intensifient leurs efforts pour résoudre le problème du pont Karama (vers la Jordanie.)
Le responsable américain a indiqué que son pays faisait toujours pression sur Israël pour qu’il ouvre le bureau du consulat américain à Jérusalem occupée.
Il a souligné que l’affaire est toujours entre les mains d’Israël, d’autant plus que la loi stipule que le pays abritant le consulat est celui qui approuve la décision de résidence.
Il a expliqué que le bureau américain pour les affaires palestiniennes à Jérusalem effectue les mêmes tâches et procédures que le consulat est censé effectuer.
Concernant l’ouverture du bureau de l’Organisation de libération de la Palestine à Washington, Noel a souligné que cette affaire oblige l’organisation à amender certaines procédures du droit américain…
Dans un contexte connexe, Noel a confirmé que l’administration américaine continue de suivre les résultats des enquêtes sur le meurtre de la journaliste Sherine Abu Akleh, notant que les procédures judiciaires prennent beaucoup de temps.
J’étais d’abord sceptique quand j’ai vu cette histoire, mais elle est rapportée dans plusieurs points de presse vsans être copiée, donc il semble vraiment que George Noll ait dit toutes ces choses.