Liban : médiation américano-égyptienne pour éviter une guerre ouverte avec Israël

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Tandis que les tensions montent à la frontière nord, les États-Unis et l’Égypte redoublent d’efforts pour désamorcer la crise entre Israël et le Hezbollah. Des sources diplomatiques confirment que Tom Barrack, envoyé spécial américain, et Hassan Rachad, émissaire du Caire, se sont rendus à Beyrouth ces derniers jours pour empêcher une escalade militaire imminente.

Les négociations se concentrent sur l’application réelle de la résolution 1701 des Nations unies, qui impose au Hezbollah de se retirer au nord du Litani. Mais sur le terrain, l’organisation chiite multiplie les provocations : reconstructions de positions, transferts d’armes, infiltrations de drones.

Jérusalem hausse le ton

À Jérusalem, le ministre de la Défense Israël Katz avertit : « Nous ne tolérerons plus que le Liban devienne un sanctuaire terroriste. » Il a ordonné à Tsahal de renforcer la présence de l’armée dans le nord et d’étendre les zones d’interdiction de survol pour les engins hostiles.
Le chef d’état-major Eyal Zamir a, lui aussi, durci le discours : « Nous répondrons à toute agression, quel qu’en soit le coût. »

Beyrouth dans l’impasse

Le gouvernement libanais, affaibli et divisé, se retrouve pris entre pressions internationales et chantage du Hezbollah. Selon plusieurs analystes locaux, le président Joseph Aoun a reçu des signaux d’agacement de Washington : la tolérance américaine envers les violations répétées de la milice touche à sa fin.
L’Égypte, soucieuse de préserver sa stabilité régionale et ses accords avec Israël, pousse à la retenue, mais rappelle aussi que “le temps joue contre le Liban”.

Une diplomatie au bord du gouffre

Dans cette course contre la montre, chaque jour compte. Les diplomates savent que le moindre incident – roquette, infiltration ou provocation médiatique – pourrait rallumer la guerre. « Si le Liban ne désarme pas le Hezbollah, Israël le fera », résume un haut responsable américain.
Pour Israël, la ligne rouge est claire : aucune reconstitution du front de 2006.

Face à la passivité libanaise et à la duplicité du Hezbollah, Jérusalem se prépare à agir. Mais avant que le tonnerre ne gronde, la diplomatie tente encore d’obtenir ce que les armes exigent : la sécurité.


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