Alors que les regards du monde entier sont tournés vers Gaza et que les appels au cessez-le-feu se multiplient, une nouvelle donnée révélée par l’unité israélienne de coordination des activités gouvernementales dans les territoires (COGAT) jette une lumière crue sur les dysfonctionnements de l’aide humanitaire : 950 camions remplis de vivres, de médicaments et de produits de première nécessité attendent toujours d’être collectés par l’ONU aux points de passage frontaliers.
Selon COGAT, qui supervise l’entrée de l’aide humanitaire dans Gaza depuis Israël, ce goulot d’étranglement incombe directement aux agences onusiennes et à leurs partenaires locaux, incapables de distribuer les cargaisons dans le territoire palestinien. Une situation jugée intenable, d’autant plus que cette paralysie est sciemment exploitée par le Hamas, selon des responsables sécuritaires israéliens, pour créer une crise humanitaire artificielle afin de faire pression sur les négociations autour des otages.
🔗 À lire :
https://infos-israel.news/category/alerte-info-24-24/
https://infos-israel.news/category/israel/
https://rakbeisrael.buzz
https://alyaexpress-news.com
https://fr.wikipedia.org/wiki/COGAT
L’ONU débordée ou dépassée ?
Depuis plusieurs semaines, Tsahal sécurise quotidiennement les couloirs logistiques, escortant les convois d’aide et ouvrant les points de passage comme Kerem Shalom et Erez-Ouest. Malgré ces efforts, les palettes s’accumulent dans les zones tampons, faute de camions, de chauffeurs et surtout de coordination efficace du côté onusien. Les organisations locales mandatées par l’ONU, souvent sous pression du Hamas, n’arrivent pas à acheminer l’aide aux populations civiles.
« Chaque jour qui passe, des centaines de camions restent à l’arrêt alors que la nourriture pourrit, les médicaments expirent, et le carburant s’évapore », déclare un responsable de COGAT. « Le monde accuse Israël, mais ce sont les partenaires de l’ONU qui bloquent. »
Une stratégie cynique du Hamas ?
De hauts responsables israéliens estiment que le Hamas orchestre délibérément ce chaos logistique pour exacerber la crise humanitaire à Gaza, tout en continuant à utiliser les hôpitaux, les écoles et les entrepôts de l’ONU comme boucliers humains. Ce n’est pas une première : l’organisation terroriste a déjà été prise la main dans le sac lors de précédents conflits, volant l’aide, l’utilisant pour son armement, ou en empêchant sa distribution pour mettre en scène la souffrance des civils.
« Le Hamas joue la carte de la famine et des enfants malnutris pour attendrir l’opinion publique et faire pression sur Israël dans les négociations sur les otages », affirme un responsable du renseignement israélien. « Ils bloquent les vivres et attendent que les caméras du monde entier pointent vers les files d’attente et les pleurs. »
Des images de crise… bien orchestrées
La stratégie du Hamas est simple : plus la population souffre, plus la pression augmente sur Israël – que ce soit via les réseaux sociaux, les ONG ou les chancelleries européennes. Mais ce que les médias mainstream n’osent pas dire, c’est que la souffrance est souvent mise en scène ou amplifiée à dessein. Et que pendant que les enfants attendent du riz, les chefs du Hamas dorment dans des bunkers climatisés, protégés par des otages israéliens et des civils palestiniens.
Une aide à double tranchant
Plusieurs sources humanitaires occidentales, sous couvert d’anonymat, reconnaissent l’influence grandissante du Hamas sur le système humanitaire à Gaza. Des cargaisons entières seraient systématiquement détournées par le groupe islamiste, redistribuées selon des critères politiques ou purement mafieux. Une aide monétisée, utilisée comme levier de pouvoir dans un territoire à genoux.
🔗 Pour comprendre la stratégie du Hamas :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Hamas
https://infos-israel.news/category/solidarite-avec-nos-soldats-de-tsahal/
Et pendant ce temps-là… les otages.
Alors que les négociations piétinent, les familles des otages israéliens retenus depuis octobre 2023 supplient le gouvernement de ne pas céder à la pression internationale et de ne pas faire entrer de nouveaux camions sans contrepartie. Une exigence justifiée : chaque kilo de riz qui entre sans contrôle nourrit la machine du Hamas, pas les enfants.
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