« 700 jours après le 7 octobre : Israël n’oublie pas, le monde détourne le regard »

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Voilà 700 jours que le massacre du 7 octobre 2023 a ensanglanté Israël. Plus d’un millier de victimes, des bébés jusqu’aux vieillards, 251 personnes enlevées, et encore 48 otages retenus dans les tunnels de Gaza. Un traumatisme national qui ne s’efface pas, tandis que le monde, lui, préfère oublier.

Près de deux ans ont passé depuis cette journée de cauchemar. Le 7 octobre 2023, plus de 1 163 Israéliens ont été assassinés par les hordes de Hamas, soutenues et accompagnées par des civils gazaouis. Les victimes allaient d’une fillette âgée de 14 heures à des personnes âgées de plus de 90 ans. Un massacre sans précédent, accompagné de viols, de mutilations, de décapitations et d’actes de barbarie d’une cruauté indicible.

Au-delà des morts, 251 personnes furent enlevées et traînées dans les tunnels de Gaza. Aujourd’hui encore, 48 d’entre elles demeurent otages, certaines en vie, survivant à la faim, aux tortures et à la terreur imposée par le Hamas.

Le monde veut oublier

À l’étranger, l’effroi du premier jour s’est rapidement dilué dans la brume des discours diplomatiques et des récits biaisés. Déjà, certains osent relativiser, minimiser, ou même nier. Les campagnes anti-israéliennes prospèrent dans les campus, dans certains médias et jusque dans des institutions internationales censées défendre les droits humains.

« Le temps ne doit pas effacer la vérité », répètent inlassablement les familles des victimes et des otages. « Nous ne pardonnerons jamais, et nous ne laisserons pas le monde fermer les yeux. »

Une barbarie documentée mais occultée

Les preuves des atrocités commises ce jour-là sont accablantes : vidéos filmées par les terroristes eux-mêmes, témoignages de survivants, rapports médico-légaux. Tout prouve que ce fut une opération de massacre et de terreur systématique. Pourtant, une partie du monde préfère céder au narratif palestinien, parlant d’« acte de résistance » plutôt que de crime contre l’humanité.

Comme l’a analysé Infos-Israel.News, ce déni international est une double peine pour les victimes. Car il valide, même implicitement, la logique du Hamas : tuer des innocents, puis inverser les rôles en se faisant passer pour la victime.

Les otages : une plaie ouverte

Au centre de la douleur israélienne demeurent les otages. Enfants, femmes, hommes, soldats comme civils. Certains sont probablement morts, d’autres survivent dans des conditions inhumaines. Les familles réclament inlassablement leur libération, mais les négociations sont au point mort, prises en otage elles aussi par les calculs cyniques du Hamas et de ses parrains iraniens.

À chaque apparition de vidéos d’otages, l’émotion submerge Israël. Mais à l’international, les réactions sont tièdes. Le contraste est glaçant : pour certains pays, la cause palestinienne prime sur la vie de dizaines d’innocents séquestrés depuis 700 jours.

Le rôle de la propagande

Si le monde détourne le regard, c’est aussi parce qu’il est bombardé par une propagande incessante. Chaque jour, le Hamas et ses relais accusent Tsahal de « massacres » ou de « génocide », sans preuve. Ces récits sont amplifiés par des ONG et des médias complaisants, qui préfèrent un récit victimaire simpliste à une vérité dérangeante.

Mais la réalité demeure : le 7 octobre fut l’un des plus grands massacres de Juifs depuis la Shoah. Et ceux qui ferment les yeux aujourd’hui se rendent complices du mensonge.

Israël : mémoire et détermination

Pour Israël, oublier n’est pas une option. Dans chaque cérémonie, dans chaque discours officiel, le 7 octobre revient comme un rappel douloureux mais nécessaire. « Nous ne pardonnerons pas, nous ne permettrons pas l’oubli », martèlent les responsables israéliens.

La mémoire n’est pas seulement une exigence morale : c’est aussi une arme stratégique. Car rappeler au monde ce qui s’est passé, c’est légitimer la guerre actuelle contre le Hamas. Une guerre longue, coûteuse, mais indispensable pour qu’aucun 7 octobre ne se reproduise.

Conclusion : ne pas laisser le silence tuer deux fois

Le 7 octobre 2023 fut un point de non-retour. Israël a vu ses citoyens massacrés, ses enfants arrachés, ses familles brisées. Aujourd’hui, 700 jours plus tard, la douleur reste vive. Mais le plus insupportable est l’indifférence du monde.

C’est pourquoi Israël répète, encore et toujours : nous n’oublierons pas, nous ne pardonnerons pas. Et nous rappellerons sans relâche, à l’ONU comme dans chaque capitale, que la vérité ne disparaîtra pas sous les mensonges du Hamas.

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