🛶 Lindsey Graham, Greta Thunberg et la flottille pour Gaza : quand la politique prend le large

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Quand le sénateur Lindsey Graham lâche un « J’espère que Greta Thunberg saura nager », on aurait tort de s’arrêter au sarcasme apparent. En réalité, cette phrase met le doigt sur un sujet bien plus large : la complexité du conflit israélo-palestinien, et les tentatives parfois simplistes de certaines figures occidentales pour s’y insérer.

Greta, militante climatique bien connue, s’est récemment associée à une flottille à destination de Gaza. Le but ? Livrer de l’aide symbolique et afficher un soutien à la population civile. Louable ? Sans doute. Mais naïf ? Probablement aussi. Car dans cette région, les apparences sont souvent trompeuses.

Ce que beaucoup ignorent, c’est que le blocus maritime autour de Gaza ne vise pas les civils mais la contrebande d’armes, de missiles, de composants dangereux – autant d’éléments que le Hamas, organisation reconnue comme terroriste par l’Union européenne et les États-Unis, a utilisé contre les civils israéliens.

Ainsi, en lançant des flottilles qui défient les protocoles de sécurité mis en place, certains activistes – même bien intentionnés – mettent de l’huile sur le feu. Et ce n’est pas une question de politique, mais de prudence.

Lindsey Graham, fidèle allié d’Israël, le sait. Son commentaire, aussi grinçant soit-il, rappelle que les conflits ne se résolvent pas en naviguant vers une zone sensible avec des slogans imprimés sur des voiles. La paix demande du dialogue, pas de la provocation.

Quant à Greta, on peut lui reconnaître une volonté sincère d’agir pour un monde meilleur. Mais dans ce dossier-là, mieux vaut peut-être écouter ceux qui y vivent depuis des générations. L’activisme, c’est noble. La diplomatie, c’est crucial.

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